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24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 09:20

Après un interminable marathon judiciaire, la cour d’appel de Rennes a rendu hier une décision clé dans l’affaire des temps de pause non payés chez Doux-Père Dodu. Le volailler finistérien a été condamné à payer des arriérés de salaires d’environ 3 000 euros à cinq cégétistes.

Libération - le 24/02/2010
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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 21:50

L'agroalimentaire recherche des saisonniers

Les industries agroalimentaires ont permis au bassin de s'en tirer honorablement.

« En période difficile, l'alimentaire souffre moins que les autres secteurs manufacturiers »
. L'industrie agroalimentaire est moins exposée au risque de délocalisation. La filière souffre juste du manque de visibilité de la filière agricole dont elle dépend.

« Les Délices du Val Plessis recherchent entre cinquante et soixante-dix salariés saisonniers »,
annonce Anthony Jeuland. Les contrats du fabricant vitréen de crèmes glacées vont de quatre à six mois.

Quarante recrutements chez Gâtines viandes

L'abattoir Gâtines viandes ouvre une nouvelle ligne de production à La Guerche-de-Bretagne. Pour faire tourner l'outil, la société recrute quarante agents de transformation des viandes. « Le recrutement sera assuré par simulation », précise Anthony Jeuland.

Des actions de formation « préalables à l'emploi » et internes à l'entreprise, d'une durée de trois mois, sont prévues pour les candidats retenus. Avis aux candidats : le recrutement aura lieu en avril et en mai pour des prises de postes au deuxième semestre.

 

 

Bertrand BONENFANT.


Ouest france - le 15/02/2010
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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 21:25

 

Hier après-midi, le tribunal correctionnel de Quimper devait examiner un dossier d'accident du travail, survenu en novembre2006, au sein de l'usine quimpéroise de la société Doux - Père Dodu.
Un ouvrier avait subi une incapacité de plus de trois mois après avoir été blessé sur une pièce mécanique mobile ne comportant pas de dispositif de protection. Le directeur de l'époque, censé représenter le Groupe Doux, s'est donc présenté à la barre.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/tribunal-report-d-un-dossier-d-accident-du-travail-chez-doux-23-02-2010-795626.php

Le télégramme - le 23/02/2010

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 21:22

L’épilogue prend forme dans le long feuilleton juridique sur les temps de pause chez Doux. La cour d’appel de Rennes a rendu aujourd'hui un arrêt définissant précisément les pauses à prendre en compte et le tarif horaire.

 

La cour de cassation avait déjà reconnu les temps de pause rémunérés comme un "avantage individuel acquis" avec leur remise en cause par le premier groupe volailler européen lors de la dénonciation en 2004 de l’accord sur la réduction du temps de travail.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/doux-les-temps-de-pause-sont-desormais-definis-23-02-2010-796885.php


Le télégramme - le 23/02/2010

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 08:24
Après six jours de grève chez Total, la CGT a appelé les raffineries d'ExxonMobil, Ineos et Petroplus à rejoindre le mouvement. Le président du groupe a été convoqué à l'Elysée. Direction et syndicats se rencontrent aujourd'hui au siège.

Le bras de fer entre la direction de Total et la CGT monte d'un cran. Après avoir lancé une grève illimitée la semaine derrière dans les six raffineries françaises de Total, le syndicat a appelé à un élargissement du mouvement à l'ensemble des sites de raffinage français.

La CGT d'ExxonMobil a appelé à une grève de vingt-quatre heures aujourd'hui dans les deux raffineries du groupe de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhônes) et de Port-Jérôme-Gravenchon, près du Havre. «  Nous faisons grève pour interpeller les pouvoirs publics sur le démantèlement du raffinage en France », a expliqué Rémi Armandi, délégué CGT du site de Fos-sur-Mer.

Même démarche sur le site pétrochimique du groupe britannique Ineos à Lavéra (Bouches-du-Rhône), où un mouvement de grève pourrait débuter demain matin. La raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime) pourrait également être touchée mercredi à l'issue d'une assemblée générale. Un préavis de grève doit aussi être déposé demain à la Compagnie industrielle et maritime, qui assure la manutention du pétrole brut et des produits raffinés sur le port du Havre.

De son côté, la CFDT a appelé à une suspension de la grève après la décision de la direction de Total d'avancer du 29 au 8 mars le comité central d'entreprise consacré à l'avenir de la raffinerie de Dunkerque. Jugeant cette décision insuffisante, la CGT a indiqué qu'elle ne signerait pas l'ordre du jour de la réunion du 8 mars.

Un projet précis


En face, Total maintient sa décision d'arrêter le raffinage à Dunkerque tout en cherchant à répondre aux attentes du gouvernement. Voilà quelques semaines, le pétrolier avait repoussé l'annonce de la fermeture de la raffinerie après les régionales à la demande de l'Etat, avant de revenir en arrière à sa demande également. L'Elysée a convoqué hier le président du conseil d'administration, Thierry Desmarest. «  Le groupe doit très rapidement et concrètement, rassurer les salariés. Il doit les informer de ses intentions en rouvrant le site dès les prochains jours : soit Total est en mesure d'apporter un projet précis et daté d'implantation de nouvelles activités, soit il doit très rapidement redémarrer sa raffinerie de Dunkerque », a martelé hier le ministre de l'Industrie, Christian Estrosi, qui voudrait des éléments précis sur la réindustrialisation du site. 

Total a bien évoqué la construction d'un possible terminal méthanier, en association avec EDF, mais la décision définitive reste du ressort de la compagnie électrique. Direction et syndicats doivent se réunir une nouvelle fois aujourd'hui pour tenter de sortir du conflit.

La menace d'une pénurie de carburants pèse aussi sur les esprits, même si son impact reste assez disparate. Hier après-midi, 127 stations-service Elf et Total sur 2.600 étaient à court d'un carburant. Chez Avia, on affirmait ne rencontrer aucun problème. D'autres acteurs sont plus mitigés. «  La profession est inquiète. Nous rencontrons des difficultés sur la façade Atlantique, la région Centre et le nord de la France », indique Alexandre de Benoist, de l'Union des importateurs pétroliers (UIP), qui regroupe Cora, Carreforu, Auchan et Casino. Chez BP, une cinquantaine de stations sur 400 avaient une cuve à sec hier matin avant que les choses ne rentrent dans l'ordre en cours de journée. «  Dans certains endroits, la demande a doublé », souligne Jean-Nicolas Cloue, de BP France. «  Le problème, c'est que tout le monde veut les camions en même temps », ajoute-t-on chez Esso.

Demain, la pression risque encore de monter si la grève s'étend à d'autres raffineries. Selon l'Union française des industries pétrolières, il reste «  entre 7 et 10 jours » de stocks disponibles. Hier, le ministère de l'Energie faisait néanmoins état «  d'une bonne résistance du système logistique aux tensions observées »

EMMANUEL GRASLAND, Les Echos - Le 23/02/2010
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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 08:20

De Jacques Audiard à Riad Sattouf, le cinéma français soutient les travailleurs sans papiers en lutte

 

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Simple, fort, efficace : dévoilé ce soir à la Cinémathèque française, le film collectif en soutien à la régularisation des travailleurs sans papiers va être projeté en France dans les salles de cinéma, circuler sur le Net, passer à la télévision. Signé par 350 personnalités du cinéma francophone, parmi lesquels Chantal Akerman, Laurent Cantet, Mathieu Amalric, Lucas Belvaux, Arnaud Desplechin, Charles Berling, Abdellatif Kechiche, Vincent Lindon, Bruno Solo, Riad Sattouf, Jacques Audiard, Juliette Binoche, Rachid Bouchareb, Claire Denis, Abderrahmane Sissako, il donne la parole à des hommes et des femmes sortis de l’ombre en 2008 pour faire valoir leur droit à être régularisés, et qui poursuivent depuis, à leurs risques et périls, une grève au long cours pour y parvenir. Filmés en plan fixe, sur leur lieu de travail, ils exposent ici clairement, sans pathos, la situation scandaleuse, injustifiable dont ils sont victimes. Leurs employeurs? L’hôtel Matignon, l’Assemblée Nationale, Bouygues, Monoprix, Franprix, Cora, NafNaf, Etam… Payés avec un lance-pierre, ils cotisent pour tout, sans avoir droit à rien : ni vacances, ni papiers. La peur au ventre en guise d’assurance retraite. Pourquoi? A quelques semaines des législatives, les cinéastes, acteurs et producteurs qui se sont associés à ce film ont voulu porter la question au coeur du débat public.

En 2007, nombre d’entre eux étaient déjà à l’initiative de Laissez-les grandir ici!, un film sur les enfants sans-papiers, réalisé avec le soutien du réseau Education sans frontière, et dont ils espéraient de la même manière qu’il produirait des échos dans la campagne présidentielle.
On n’en perçut guère. Il semble que cette fois-ci, quelques heures seulement après la première à la Cinémathèque, le buzz ait bien pris. Les partis politiques s’en saisiront-ils?
Pour en savoir plus sur cette lutte, les abonnés du site Médiapart peuvent consulter ce lien .

 

Voici par ailleurs le texte aux 350 signatures qui accompagne le film :

« On bosse ici ! On vit ici ! On reste ici ! »

Un travailleur sans papiers et un travailleur avec carte de séjour, c’est quoi la différence ? Pas visible à l’œil nu, pas visible même avec une caméra. Et pourtant, ils sont là. Ils travaillent, ils construisent nos immeubles, réparent nos rues, posent les rails de nos tramways. Ils nettoient nos bureaux, font le ménage dans nos appartements, s’occupent de nos malades et des plus vieux d’entre nous. Ils lavent la vaisselle et les cuisines de nos restaurants, s’occupent de la sécurité de nos grands magasins, sont la main d’œuvre secrète de nos agences d’intérim… Avec ou sans papiers, leurs tâches sont les mêmes. Avec ou sans papiers, les obligations des uns et des autres sont aussi les mêmes : ils payent les cotisations sociales, l’assurance-chômage, la sécurité sociale, les impôts… Comme tout le monde. Alors, quelle est la différence ? La différence, c’est qu’un « sans-papiers » au chômage ne touchera pas d’allocation. La différence, c’est qu’un « sans-papiers » cotisera pour la retraite mais n’en touchera jamais un centime… Les mêmes devoirs, mais pas les mêmes droits. Et cela parce qu’il lui manque un papier, un seul : la carte de séjour. On peut fabriquer une voiture en Roumanie pour la vendre en France, on ne peut pas délocaliser les métiers du bâtiment ou les services à la personne. Alors on délocalise sur place, on emploie des « sans-papiers ». Un « sans-papiers », c’est d’abord un travailleur sans droits !Un travailleur qui vit dans la peur d’être expulsé, et qui s’il est licencié, n’a aucun recours mais une seule perspective : la reconduite à la frontière. Cette injustice est insupportable pour qui attache de la valeur à la devise de la République inscrite sur les frontons de nos écoles. C’est pour cela que nous avons décidé de nous mobiliser aux côtés de ces travailleurs, comme nous l’avions fait pour les enfants de « sans-papiers » avec le film « Laissez-les grandir ici ! ». C’est avec nos regards de cinéastes que nous voulons à nouveau marquer notre solidarité. « On bosse ici ! On vit ici ! On reste ici ! » proclament les travailleurs sans papiers en grève. L’égalité des droits est l’exigence de tous. Régularisation de tous les travailleurs sans papiers, c’est ce que nous exigeons avec eux.
Collectif des cinéastes pour les « sans-papiers »

Sur son site, RESF, qui lance une souscription en soutien au mouvement, propose en outre un t-shirt reproduisant le dessin de Tardi qui figure en haut de cette page.


Le Monde - le 23/02/2010 



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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 21:04
Débrayage ce matin au Ster Goz : une société d’intérimaires roumains mal perçue

La majeure partie des ouvriers de la société industrielle et commerciale du Ster Goz (groupe Jean Floc’h), spécialisée dans le désossage, le triage de viandes standardisées, a débrayé dès la reprise ce matin, de 6 h à 8 h.

Pour la CGT, « lors de la réunion du comité d’entreprise de janvier, la direction annonçait les services d’une société intérimaire basée en Roumanie à partir de la fin janvier. La société utilisatrice n’a aucune démarche administrative à effectuer, ni charges sociales à payer. »

La raison invoquée : « Le taux d’absentéisme et l’accroissement de l’activité sur le site. Il n’en n’est rien, estime la CGT. Pour preuve, le responsable de production demande à certains salariés de prendre leur journée de congé, ou de RTT, voir d’avancer leur semaine de vacances. De plus l’activité sur quelques ateliers est en très forte baisse, voir en arrêt total de production. Par contre, d’autres intérimaires voient leur mission s’arrêter. »

Ouest france - le 22/02/2010
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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 20:57

La société bannalécoise Ster Goz, du groupe Jean Floc'h, spécialisée dans la découpe et le désossage de porc, a connu un débrayage ce matin, de 6h à 8h, observé par 90 % des salariés affectés à la production. La CGT dénonce le fait que l'entreprise ait décidé de faire appel à des intérimaires roumains, alors que selon le syndicat, l'activité est en baisse. Ce n'est pas l'avis de la direction.

Le télégramme - le 22/02/2010

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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 14:31

Problème de réorganisation. Le personnel de production de l'usine était en grève jeudi. Les négociations continuent aujourd'hui.


Mercredi matin, lors d'un comité d'entreprise exceptionnel, la direction de Tipiak (Fouesnant) a présenté un plan de réorganisation de l'usine. Mercredi après-midi, premier débrayage. Et, jeudi matin, mouvement de grève suivi par environ 75 % du personnel de production. La réaction des salariés, regroupés derrière le syndicat CGT, a été rapide.

 

« Incertitudes et inquiétudes »

« La direction a annoncé une réorganisation de la fabrication destinée à faire face à la baisse de la production de produits cuisinés surgelés » rapportent les membres de l'équipe syndicale, Patrick Anciaux, Jean-Claude Colin, Stéphane Mevellec et Fabienne Tourville. De plus, un programme d'automatisation des machines est prévu. » Le nombre de postes touchés par ces deux projets : une petite dizaine. « La direction parle de reclassements, mais cela reste flou. »

« Ce projet, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase... » assurent les syndicalistes. Depuis quelque temps, le management a changé. Il est devenu plus pressant. » Ces salariés en viennent à regretter l'ambiance d'autrefois, l'esprit de cette grosse PME (un millier de salariés dans l'ouest) « où existait une certaine fibre sociale... »

« Depuis trois ans, le volume produit à Fouesnant a baissé de 40 % » répond Arnauld Hannebique, directeur de l'usine. Notre projet est de faire face à cette évolution pour assurer la pérennité du site et le maintien du personnel. » Le responsable ne cache pas que, dans ce contexte « il est nécessaire de s'adapter, ce qui peut provoquer des incertitudes et des inquiétudes. »

Le dialogue n'est pas rompu. Une première réunion s'est déroulée jeudi matin. Ce matin, une nouvelle réunion est programmée. La CGT réclame l'arrêt de la réorganisation, la suppression de l'automatisation, l'ouverture anticipée des négociations salariales et des modifications à l'accord d'aménagement du temps de travail.


Ouest france - le 12/02/2010
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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 14:27

La CGT largement confortée première organisation syndicale par les salariés

Les 2 CPAM de Brest et de Quimper ont fusionnées au 1er janvier 2010. Le 11 février avaient lieu les premières élections professionnelles du nouvel organisme : 668 employés et cadres étaient concernés. Ils ont voté massivement (+80% de votant) et accordent leur confiance à la CGT.


CE :


Employés : CGT = 60% ; CFDT = 20%, FO = 18%


Cadres : CGT = 62% ; CFDT = 38%


DP :


Employés : CGT = 59% ; CFDT = 20% ; FO = 21%


Cadre : CGT = 100%

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