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29 février 2016 1 29 /02 /février /2016 15:22
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30 juillet 2014 3 30 /07 /juillet /2014 18:35

L'entreprise bretonne devrait continuer à tourner au ralenti cet été. Les industriels ne se bousculent pas pour proposer une offre de reprise.

Leurs lèvres disent oui, mais leur portefeuille reste cadenassé. Aucun industriel français présent dans le secteur de la volaille n'a pour l'instant l'intention de reprendre Tilly Sabco. L'entreprise emploie 340 salariés à Guerlesquin (Finistère) mais « pèse » un millier d'emplois avec les éleveurs et les fournisseurs. Pas de repreneur donc pour le volailler breton spécialisé dans la vente de poulets congelés à destination des pays du Moyen-Orient.

Certes, il y a bien un marché. Mais les Français n'y sont plus compétitifs sans le recours des aides européennes aujourd'hui supprimées. Gilbert Gleonec, de la CGT, qui participait à une réunion de la filière vendredi à Rennes, veut croire à un nouveau sursis.

Les éleveurs ont garanti un approvisionnement pour 450 000 poulets par semaine au mois de septembre. Selon le syndicaliste, cela représente deux jours de travail hebdomadaires. Reste à savoir si l'État continuera à offrir une garantie de paiement.

Vendredi soir, le préfet n'a pas souhaité s'exprimer. En Europe, les bretons Tilly Sabco et Doux sont parmi les derniers à être encore présents sur ce marché

.

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 22:18
Les syndicats CGT de TRELLEBORG et de la SEITA avec l’Union Locale de Carquefou et l’Union Départementale 44 appellent à la mobilisation face à l’annonce de la suppression de plus de 95 emplois (sur 290) à TRELLEBORG et la fermeture probable de la SEITA en fin d’année (336 salariés + de nombreux sous-traitants).

C’est un véritable drame social qui s’annonce donc pour des centaines de salariés et leurs familles, et une catastrophe économique pour tout le bassin d’emploi de Carquefou.

Les syndiqués et salariés des deux entreprises (voisines, seul un grillage les séparent) vont engager une bataille convergente avec :

  • · un 1er rassemblement des salariés et de l’interpro ce mercredi 16 avril, de 11 h 30 à 15 h 30, au rond-point se situant à proximité des entreprises.
  • · Nous envisageons dans une 2ème temps, la semaine prochaine , d’organiser une Marche pour l’emploi dans Carquefou ou à Nantes.

http://lacgt44.fr/spip.php?article446

 

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 21:11
En Bretagne, chez Gad et Doux à peine 10% des salariés licenciés ont retrouvé un emploi pérenne
BRETAGNE 12/03 | 11:58 | mis à jour à 12:51 | Par STANISLAS DU GUERNY

Plus d’un an après la fermeture de l’abattoir de Gad la quête d’un emploi est difficile pour les salariés licenciés en dépit d’un arsenal de mesures d’accompagnement impressionnant et d’une mobilisation des professionnels de l’agro-alimentaire local. Chez Doux seulement 10% des 353 personnes licenciées ont retrouvé un emploi fixe.

Pas facile pour les salariés licenciés de chez Doux et Gad de rebondir. Les chiffres sont cruels. Pour l’ abattoir de porcs du groupe Gad qui a fermé ses portes l’an dernier, « sur les 661 personnes dont on a la charge, 43 sont désormais en CDI soit à peine 5% du total », indique Sébastien Tillon du cabinet Altédia choisi pour trouver des solutions de reclassement. Il est vrai que sa mission d’accompagnement a démarré seulement en novembre dernier. Une trentaine de consultants d’Altédia sont sur le terrain au quotidien pour aider l’ex-personnel de Gad. Ils sont épaulés par Adventia, un autre cabinet de ressources humaines. 52 salariés suivent une formation qualifiante de plus de 300 heures pour devenir boucher, employé de plate-forme logistique... et 19 occupent un poste en CDD long de plus de six mois.

Pour les autres, il n’y a pas à ce jour de réelle perspective. Les équipes de cellule de reclassement installée à Lampaul Guimiliau, là où a été fermé l’abattoir de porcs du groupe Gad, tentent de mettre les petits plats dans les grands pour aider ces chômeurs. 200 d’entre eux ont cependant manifesté en décembre dernier leur mécontentement car ils se trouvent mal ou pas assez accompagnés. Pourtant, outre Altédia, une équipe de Pôle Emploi est en permanence sur place. Les personnes sont « peu mobiles » constate Sébastien Tillon. Rares sont celles qui acceptent de se déplacer à plus de 50 kilomètres de leur lieu de résidence. Elles sont souvent en « difficulté financière » et hésitent à quitter leur commune, voire à envisager de vendre leur pavillon pour s’installer ailleurs.

3,5 millions versés par Doux pour le reclassement

http://m.lesechos.fr/regions/bretagne/en-bretagne-chez-gad-et-doux-a-peine-10-des-salaries-licencies-ont-retrouve-un-emploi-perenne-0203367517785.htm


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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 21:25

Le n° de Février 2014 du Monde DIPLO, consacré au malaise Français et à la révolte bretonne,en allant à la 32minute et 48 seconde un sujet de journalistes sur le lien ci-joint la révolte des bonnets rouges

 

Un fief socialiste se retourne contre le gouvernement

Malaise français, colère bretonne

Bastion électoral de la gauche de gouvernement, la Bretagne fut longtemps le terrain d’expérimentation d’une social-démocratie centriste. Or, durant tout l’automne, les « bonnets rouges » ont animé une contestation aux formes les plus diverses. Ce mouvement traduit le malaise provoqué par le vacillement d’un modèle agricole fondé sur le productivisme et le libéralisme.

par Jean-Arnault Dérens et Laurent Geslin, février 2014
APERÇU

Redevance sur les véhicules de transport de marchandises de plus de trois tonnes et demie, l’écotaxe devait entrer en vigueur le 1er janvier 2014. Mais, le 27 octobre 2013, un millier de manifestants font tomber le portique prévu pour sa perception à Pont-de-Buis, sur la route nationale 165, la voie rapide qui relie Quimper à Brest. Des scènes de guérilla opposent gendarmes et compagnies républicaines de sécurité (CRS) aux manifestants coiffés de bonnets rouges qui brandissent leGwenn ha Du, le drapeau noir et blanc de la Bretagne.

Même si le gouvernement de M. Jean-Marc Ayrault annonce le 29 octobre la « suspension » de l’écotaxe, vingt mille personnes se rassemblent le 2 novembre dans les rues de Quimper à l’appel du collectif Vivre, travailler et décider en Bretagne. Une foule encore plus nombreuse se retrouve le 30 novembre à Kerampuilh, près de Carhaix-Plouguer. Les destructions de portiques se poursuivent ; des radars routiers sont sabotés — une action officiellement condamnée par les « bonnets rouges ».

Le couvre-chef, fabriqué par l’entreprise Armor-Lux, est devenu le signe de ralliement de la contestation. Le symbole est bien trouvé. La révolte des Bonnets rouges enflamma la Bretagne à l’été 1675, alors que Louis XIV venait d’assommer le pays d’impôts nouveaux pour financer la guerre de Hollande. Les principaux foyers insurrectionnels se concentraient en basse Bretagne, notamment dans la région de Carhaix. La fronde fut antifiscale et antiseigneuriale, exigeant l’abolition des redevances, avec l’adoption d’un code paysan.

L’historiographie marxiste y voit une préfiguration de la Révolution française, tandis que certains historiens la lisent comme l’ultime sursaut d’une province qui avait réussi à maintenir ses particularités face au centralisme royal. La jacquerie de 1675 marque une cassure dans l’histoire de la Bretagne, riche et densément peuplée au XVIe siècle et au début du XVIIe siècle, mais qui voit la source de sa fortune se tarir avec le ralentissement du commerce maritime. (...)

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 21:40

Sept organisations syndicales régionales de Bretagne, CFDT, CGT, Solidaires, CFTC, UNSA, CFE-CGC et FSU ont

appelé mercredi les salariés à une journée de mobilisation régionale le 23 novembre, "pour l'avenir de la Bretagne"

et pour "un pacte social".

 

Cette mobilisation prendra la forme de rassemblements ou de manifestations dans chacun des quatre départements

bretons, a indiqué une responsable de la CFDT, Jocelyne Cabanal. Les lieux des différentes actions seront précisés

ultérieurement.

 

http://www.letelegramme.fr/fil_region/fil_bretagne/crise-bretonne-journee-de-mobilisation-regionale-le-23-novembre-a-l-appel-de-sept-syndicats-13-11-2013-2301932.php

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 21:06
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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 21:53

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 21:15

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 20:42

Crise bretonne: FO et CGT pour un gel des licenciements, CFDT et Medef s'y opposent

Les syndicats FO et CGT ont réclamé mercredi matin le gel des licenciements en Bretagne comme préalable à toute discussion tandis que CFDT et Medef s'y sont opposés lors de la première réunion préparatoire au "Pacte d'avenir pour la Bretagne" qui s'est tenue à la préfecture de région à Rennes.

"On a demandé un gel des licenciements pour les deux mois qui viennent", a déclaré à l'issue de la réunion qui a duré près de trois heures Fabrice Lerestif, secrétaire départemental de FO en Ille-et-Vilaine.

Il a dénoncé dans le cadre du Pacte d'avenir lancé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault "des mesures qui ne sont pas à la hauteur". "On veut un gel des licenciements", ou au moins des signes allant dans ce sens avant 14h30, a-t-il dit, "sinon on ne viendra pas cet après-midi" à la réunion élargie qui doit rassembler tous les acteurs économiques, sociaux, politiques rassemblés pour travailler sur le Pacte d'avenir.

Son homologue du Finistère, Marc Hébert a modéré: "Nous serons là cet après-midi, au moins au départ, au moins sur le perron" de la préfecture.

"On va continuer à porter l'exigence de l'arrêt des licenciements", a réagi pour sa part Thierry Gourlay, responsable régional de la CGT, mais contrairement à FO il a assuré que "la CGT va continuer à discuter" lors des réunions sur le pacte d'avenir. "On ne veut pas faire la politique de la chaise vide", a-t-il assuré.

La CFDT quant à elle ne s'associe pas à la demande de gel des licenciements, a expliqué à l'AFP Jean-Luc Feillant, chargé de l'agroalimentaire pour la CFDT Bretagne. "L'arrêt des licenciements, c'est un grand mot, on peut le dire mais la réalité économique ce n'est pas comme ça", a-t-il dit.

Le Medef, qui réclamait et a obtenu la suspension de l'écotaxe, a estimé à l'issue de la réunion que "les conditions du dialogue sont réunies", a expliqué Frédéric Duval, du Medef Bretagne. "Nous, ce que nous demandons c'est que des mesures soient prises pour que les entreprises soient mises en situation d'être compétitives", a-t-il dit.

http://www.boursorama.com/actualites/crise-bretonne-fo-et-cgt-pour-un-gel-des-licenciements-cfdt-et-medef-s-y-opposent-d8afe119b4b336de166aebe1bf0f2af9

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