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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 18:51
Etude des Amis de la Terre, sur la réparation : Les ressources s'épuisent, nos réparateurs aussi ! Vite achetés et vite jetés tel est le sort de nos objets… La réparation permet de leur donner une seconde vie, mais ce secteur a été mis à mal par l’arrivée de biens de consommations bon marché. Les Amis de la Terre ont étudié les enjeux de ce secteur et publient l’étude "Les ressources s’épuisent, nos réparateurs aussi !". Egalement... Surconsommation des ressources naturelles, le défi L’exploitation des ressources naturelles a augmenté de 50% dans le monde depuis 30 ans. Un seuil a été atteint en 1987, date depuis laquelle notre consommation s’élève à un niveau tel que les capacités de renouvellement des ressources sont compromises, dans le même temps notre production de déchets a explosé. Nous jetons plus de 594 kg de déchets par an et par habitant. Pour réduire notre empreinte écologique, l’allongement de la durée de vie de nos produits est une priorité. Cependant, alors que la prévention des déchets appelle à une dynamique positive pour inciter les consommateurs à allonger la durée de vie de ses produits et de ne pas céder aux appels des stratégies marketing des entreprises, le secteur de la réparation un des piliers de l’allongement de la durée de vie des produits souffre d’une baisse régulière d’activité et d’un déficit d’image. Le secteur de la réparation est-il entré dans un cercle vicieux tel que le geste de la réparation est amené à se perdre ou des dynamiques nouvelles tendent-elles à donner un second souffle ? En réaction aux difficultés que traversent le secteur de la réparation, des initiatives pour redonner le réflexe de la réparation aux citoyens consommateurs voient le jour : des labels se créent, des annuaires locaux de la réparation sont réalisés et des journées de la réparation s’organisent. Mis à mal par l’arrivée massive de produits bon marché, de piètre qualité et difficilement réparable, le secteur de la réparation doit aujourd’hui être soutenu. Les Amis de la Terre appellent les pouvoirs publics à à interdire la commercialisation de produits indémontables ou irréparables, rendre obligatoire la mise à disposition des pièces détachées pendant 10 ans, à soutenir la formation des réparateurs, et à lever les contraintes juridiques à la réutilisation des pièces détachées d’occasion. Lire l’étude "Les ressources s’puisent, les réparateurs aussi ! http://www.amisdelaterre.org/IMG/pdf/les_amis_de_la_terre-les_ressources_s_epuisent_les_reparateurs_aussi.pdf
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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 08:15
[Revue de presse] Dumping social : le casse-tête des "travailleurs détachés"
travailleur dans le recyclage

Certains sujets divisent les Européens plus que d’autres. C’est le cas des "travailleurs détachés", problématique sur laquelle les ministres du Travail des Vingt-Huit, réunis mardi 15 octobre au Luxembourg, ont échoué à trouver un consensus.

La directive sur le détachement permet à un prestataire de service – au hasard polonais - d'envoyer des salariés travailler dans un autre pays de l'Union de façon temporaire - par exemple la France. Dans ce cas, le travailleur est assuré de percevoir le salaire minimum français. En revanche, les charges sociales sont celles de la Pologne. De quoi réduire le coût du travail de 30 %. Selon Le Figaro, le système est encore plus "pousse-au-crime en Allemagne", où il n'existe pas de salaire minimal national. "Résultat, (…) dans les usines agroalimentaires allemandes, on trouve des travailleurs détachés des pays de l'Est payés entre 3 et 7 euros de l'heure", explique le sénateur communiste Éric Bocquet, auteur d'un rapport sur le sujet. 

En Europe ils seraient un million à être "détachés"[Le Monde]. Proportionnellement, la Pologne, l'Allemagne, la France, le Luxembourg et le Portugal sont les Etats européens qui comptent le plus de travailleurs de ce type. Et le secteur de la construction est, de très loin, le plus concerné avec 250 000 personnes détachées au total.
En France, le phénomène est en forte hausse dans le BTP, les transports et l'agriculture. L'Hexagone comptait 14 .000 travailleurs détachés officiellement déclarés en 2011, contre 38 000 en 2006. Et ce n'est que la partie émergée de l'iceberg. Le ministère du Travail évalue entre 220 000 et 300 000 les travailleurs détachés qui ne sont pas déclarés. [Le Figaro]

Or, "La mobilité des travailleurs est génératrice de fraude, elle est autorisée mais donne lieu à un nombre considérable d'abus", regrette Michel Sapin, ministre du Travail, dans le Point . Il ajoute qu’aujourd’hui la situation est "extrêmement dommageable pour les salariés".

C’est pourquoi, la France pousse pour que la nouvelle directive sur le détachement, actuellement en cours de discussion, comporte davantage de garde-fous. Elle propose notamment que l'entreprise donneuse d'ordre soit tenue responsable de la fraude de ses sous-traitants. Mais les négociations qui se sont tenues mardi soir entre les 28 ministres du Travail de l'Union ont échoué, les pays de l'Est et le Royaume-Uni s'opposant à tout durcissement de législation. Le prochain rendez-vous est fixé en décembre. [Le Figaro]

 

http://www.touteleurope.eu/actualite/revue-de-presse-dumping-social-le-casse-tete-des-travailleurs-detaches.html

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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 08:14
Travailleurs détachés/UE
Les Vingt-Huit ne parviennent pas à s’accorder.

Publié le mercredi 16 octobre 2013 - 14h14

Les ministres européens du Travail se sont réunis le 15 octobre 2013 à Bruxelles avec pour objectif « d'améliorer » la directive relative au détachement des travailleurs dans l'Union européenne. La Commission avait présenté en mars 2012 un projet de directive pour clarifier le texte initial et limiter les abus. Malgré la volonté de la présidence de l'UE d'aboutir à un accord hier, les vingt-huit Etats membres n'y sont pas parvenus.

 

La directive détachement date de 1996 et permet à un travailleur d'être « détaché » dans un Etat membre parce que son employeur l'y envoie provisoirement. En théorie, ces salariés sont soumis au droit du travail du pays dans lequel ils exercent. Mais dans certains Etats membres, comme en Allemagne ou en Suède, où ce sont les conventions collectives qui régissent les rapports entre employeurs et salariés, les détachés échappent aux règles. Des abus avec des salaires à 4 euros de l'heure ont été largement dénoncés, en France notamment.

 

« Paris plaide en faveur d'un meilleur encadrement de la directive afin que l'UE dispose de moyens juridiques pour lutter contre les abus frauduleux des détachements », a indiqué Michel Sapin, ministre du Travail, à l'AFP. Les Pays-Bas, le Luxembourg, la Belgique et l'Allemagne sont sur la même ligne et veulent renforcer la responsabilité des entreprises et des sous-traitants. Les pays de l'Est, membres de l'Union, craignent que ce renforcement des contrôles aille à l'encontre de la libre circulation des travailleurs. Le Royaume-Uni n'est, quant à lui, pas favorable à un surcroît de réglementation. Les ministres devront se réunir à nouveau en décembre sur ce sujet, « réunion de la dernière chance », selon Michel Sapin.

 

P.B.


En savoir plus sur http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/travailleurs-detaches-ue-les-vingt-huit-ne-parviennent-pas-a-s-accorder-78824.html#hXsd2DHktccGFgY1.99

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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 08:10

COOPERL ARC ATLANTIQUE, LE PREMIER GROUPEMENT PORCIN FRANçAIS

Avant l’unification de Cooperl avec Arc, 45 personnes travaillaient chez Cooperl. Ensuite, une fois la nouvelle structure crée, Arcforce a 110 bouchers en intérim, sous un contrat qui est renouvelé chaque 6 mois. Dans les abattoirs de Lamballe (40 personnes en intérim), Montfort-sur-Meu (10 personnes en intérim), Saint-Maixent dans les Deux-Sèvres (60 personnes en intérim), tous les bouchers donnent leur mieux pour que le client soit content. 

La coopération a débuté il y a deux ans, et au fur au mesure les métiers se sont succédés; actuellement la gamme est diversifiée : des ouvriers abattoir, des ouvriers découpe, des désosseurs pareurs.

 

http://www.arcforce.fr/interim-roumain-cas-pratiques#client29

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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 08:07

ARCFORCE ASSURE UNE CENTAINE DE PERSONNES à L'ANNéE POUR UN DES ABATTOIRS FRANçAIS


Pour son client, un des acteurs majeurs de la sous-traitance de la transformation de viande, Arcforce assure une centaine de personnes à l'année, particulièrement des collaborateurs spécialisées dans le désossage industriel et le découpage des carcasses porcines. Dédié à l'excellence, notre client a plus de 600 salariés attentivement sélectionnés pour mener la qualité de produits offerts par la société au plus haut niveau.

Grâce à l'expertise acquise dans ce domaine, Arcforce a réussi à recruter pour son client les professionnels avec les compétences exigées par le métier: régularité, force, adresse et précision.

http://www.arcforce.fr/

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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 07:55
Dans le Finistère, les salariés de l'abattoir Gad continuent de se battre contre la fermeture Le Monde - Mis à jour le 19.10.2013 à 11h58 | Par Laurence Girard Lors du blocage, par les salariés de Gad, de l'abattoir de Lampaul-Guimilau (Finistère), le 10 octobre. Une semaine après l'annonce de la suppression d'un millier d'emplois dans l'abattoir de cochons Gad, vendredi 11 octobre, la colère n'est pas retombée en Bretagne. Des salariés de l'abattoir de Lampaul-Guimiliau (Finistère), dont les portes sont désormais fermées, ont souhaité maintenir la pression, vendredi 18 octobre. Ils ont bloqué le pont de l'Iroise à Brest (Finistère), jusqu'à 17 heures. Vendredi 18, les salariés occupaient toujours le site de Lampaul. Ils souhaitent qu'une négociation s'engage avec la direction pour obtenir une amélioration des primes de départ. Lors du comité central d'entreprise, qui s'était tenu à Rennes le 7 octobre, les représentants du personnel avaient arraché une prime supplémentaire de 197 euros par année de présence. Soit moins de 5 000 euros pour vingt ans d'ancienneté dans l'entreprise. Largement insuffisant aux yeux des salariés. Mais, jusqu'à présent, la direction de Gad, dont le principal actionnaire (65 %) n'est autre que la coopérative Cecab, connue pour sa marque de légumes D'Aucy, refuse toute nouvelle négociation. Selon Olivier Le Bras, délégué Force ouvrière de Lampaul, les salariés comptaient sur leur "butin" (la viande stockée dans les frigos, dont il estime la valeur "entre 1,5 et 3 millions d'euros") comme monnaie d'échange. Une denrée périssable. Selon eux, la direction préférerait envoyer cette viande à l'équarrissage plutôt que de rouvrir les discussions. "UNE BOUFFÉE D'OXYGÈNE, MAIS RIEN N'EST GARANTI" Un communiqué de la communauté de communes de Landivisiau, dans le Finistère, publié jeudi 17 octobre, pouvait donner une lueur d'espoir aux salariés. Il confirmait l'annonce, mercredi 16, du premier ministre, Jean-Marc Ayrault, à l'issue de la réunion d'urgence organisée par le gouvernement sur la situation de crise en Bretagne, de céder le site de Lampaul à la communauté de communes. Et que l'Etat allait acquérir le site de Gad par le biais de l'établissement public foncier de Bretagne. M. Le Bras préfère être prudent : "C'est une bouffée d'oxygène, mais rien n'est garanti", affirme-t-il. Ni les modalités, ni le calendrier, ni l'identité d'un éventuel repreneur n'ont, pour l'heure, été dévoilés. Cette annonce a contribué à perturber l'approvisionnement de l'autre abattoir de la filiale porcine de Cecab, à Josselin, dans le Morbihan. Sauvé dans le plan de continuation de Gad, ce site est confronté à une hausse brusque d'activité avec l'arrêt brutal de Lampaul. Depuis lundi, deux équipes se relayent en travaillant sept heures chacune. "Nous sommes passés de 23 000 à 36 000 porcs abattus par semaine", explique Patrick Piguel, délégué CFDT de Gad à Josselin. L'entreprise a recruté 180 intérimaires pour faire face à cette hausse de l'activité. Parmi eux, plus de soixante-dix sont des Roumains recrutés par une société d'intérim en Roumanie. Une main-d'oeuvre qui ne suffit pas à répondre actuellement à tous les engagements commerciaux de Gad vis-à-vis de ses clients. Dans son plan de continuation, l'abattoir a affirmé qu'il allait embaucher 343 personnes à Josselin. A Carhaix (Finistère), plus de 600 personnes se sont réunies, vendredi, à l'appel du comité pour le maintien de l'emploi en Centre-Bretagne. Une mobilisation qui suit l'annonce de la fermeture, dans la commune, de l'usine du numéro un mondial du saumon, Marine Harvest. Une nouvelle mobilisation était prévue samedi 19 contre l'écotaxe qui concentre les mécontentements en Bretagne.
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18 octobre 2013 5 18 /10 /octobre /2013 12:47

3 ans de lutte pour le maintien de l’outil industriel et des emplois


APPEL POUR UNE JOURNÉE NATIONALE


DE BOYCOTT


DES MARQUES UNILEVER


Le 28 septembre 2010, le groupe UNILEVER a annoncé son projet de fermeture du site FRALIB à

Gémenos (13). Depuis 3 ans, les salariés, luttent contre cette décision totalement injustifiée. Ils ont

démontré à plusieurs reprises que l’argumentaire économique avancé par la direction était fallacieux. Le groupe UNILEVER a tous mis en oeuvre pour plomber l’usine de Gémenos et délocaliser la production de la marque Eléphant en Pologne, marque pourtant vendue exclusivement en France. La direction a présenté 3 procédures visant à fermer le site et 3 fois les PSE ont été annulées par la justice française !

 

Le tract par ici

 

http://www.fnafcgt.fr/IMG/pdf/COMITE_DE_SOUTIEN_-_BOYCOTT_MARQUES_U._10-13.pdf

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 19:00

Les listes pour les élections professionnelles chez Crit interim se clôturent le 30 octobre 2013.

Il faut un maximum de candidats pour que la CGT soit représentée en force au sein de l'entreprise.

L'appel à candidature pour la cgt crit intérim

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 18:22
Carhaix. Comité pour le maintien de l’emploi : nombreux appels à participer
Socialmercredi 16 octobre 2013

Les appels à participer à la création d’un comité pour le maintien de l’emploi en Centre-Bretagne, le vendredi 18 octobre, à 18 h, au Glenmor de Carhaix, se multiplient. Des syndicats ont déjà relayé l’initiative (CGT et CFDT de l’hôpital), tout comme des partis politiques (NPA et MBP), ainsi que le comité de défense et de développement de l’hôpital de Carhaix, l'Union des commerçants et le pays Centre-Ouest Bretagne qui, par la voix de son président, invite les élus et l’ensemble de la population du Pays à participer à cette réunion.

 

Ouest France - le 16 octobre 2013

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 16:12

 

Amplifier la mobilisation pour l’emploi, l’industrie, les territoires.

La situation dans les secteurs industriels de la Bretagne ne cesse de s’aggraver. C’est quasi quotidiennement

qu’une annonce de suppressions d’emplois vient se rajouter aux précédentes.

Le communiqué sur la situation de l'emploi

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