Un projet qui peut désenclaver le centre bretagne, par ici.
Besoin d'un renseignement :
Au 06 38 55 29 65
Pour adhérer à la CGT envoyer un message en indiquant votre nom, prénom et n° de téléphone, à ce lien, nous vous contacterons rapidement ou télécharger le document et envoyer le par courrier ou mail, à l'adresse indiquée. A bientôt.
Un projet qui peut désenclaver le centre bretagne, par ici.
Communiqué de presse
Centre Hospitalier du Centre Bretagne
L’Union locale CGT de Pontivy appelle la population à exprimer sa solidarité avec les salariés du Centre Hospitalier du Centre Bretagne de Kério, en participant à la manifestation prévue mercredi 8 octobre à 14 heures, à Pontivy, sur la Plaine.
"La direction de la SAS GAD Josselin a informé les représentants du personnel de son intention de solliciter du tribunal de commerce l'arrêt du plan de redressement en cours et l'ouverture d'une procédure de liquidation judiciaire", explique un communiqué de la CFDT publié ce samedi.
Lors d'un comité central d'entreprise (CCE), la direction a justifié sa décision par "des problèmes de trésorerie", a rapporté à l'AFP le représentant de la CFDT chez Gad, Patrick Piguel. A cela s'ajoutent notamment les difficultés de la filière porcine et un embargo russe sur les importations de porcs, a-t-il dit. A court terme, l'entreprise faisait face aussi au remboursement d'une échéance d'une dette, s'élevant à 4,5 millions d'euros à payer le 10 octobre.
L'abattoir emploie plus de 1.000 personnes à Josselin, dont près de 750 en CDI. Mais il y a à peine un an, la direction de Gad SAS promettait de les sauver, en sacrifiant les 900 salariés de Lampaul. La direction avait commis l'extrême violence de dresser les employés de deux sites les uns contre les autres. Terrorisant les salariés de Josselin par la crainte d’être les prochains à perdre leur emploi, refusant de négocier les indemnités de licenciements de ceux de Lampaul, et remplaçant les départs par des intérimaires roumains payés moins que le Smic…
Aujourd'hui Gad SAS rempt sa promesse, le dossier de liquidation judiciaire de l'abattoir de Josselin devrait être déposé au tribunal de commerce fin août-début septembre. Le tribunal de commerce pourra se prononcer sur une liquidation judiciaire immédiate, soit la mise sur le carreau de 1000 salariés. Il peut en revanche prononcer la liquidation avec continuité de l'activité pendant deux mois, si un repreneur a déposé un dossier de reprise.
- See more at: http://www.humanite.fr/gad-sas-apres-les-licenciements-la-liquidation-judiciaire-549106#sthash.wVCOfnsK.dpuf
Les ouvriers travaillant à la construction du stade d'Al-Wakrah, l'une des enceintes choisies pour accueillir des matches du Mondial 2022 au Qatar, sont payés 57 centimes d'euros de l'heure et travaillent jusqu'à 30 jours par mois, a révélé le quotidien The Guardian, mercredi.
Selon le journal britannique, une centaine de travailleurs sont concernés. The Guardian affirme, citant des ouvriers, que les passeports des employés leur ont aussi été retirés par leur manager, en contradiction avec la charte émise par les organisateurs du Mondial-2022.
En février, le Qatar avait en effet annoncé une série de mesures pour protéger les ouvriers sur les chantiers des stades. "Il y a des difficultés pour calculer les heures supplémentaires et nous travaillons avec l'entreprise pour rectifier toute infraction", a déclaré au quotidien un porte-parole du comité d'organisation.
Depuis l'attribution en 2010 de l'organisation du Mondial-2022, le Qatar fait l'objet de vives critiques de la part des organisations des droits de l'Homme et syndicales qui dénoncent le sort réservé aux travailleurs étrangers. "Le Qatar est un Etat esclavagiste" avait affirmé la Secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale, Sharan Burrow, en marge du Congrès de l'Organisation Internationale du Travail (OIT), en juin à Genève.
Le tribunal de commerce de Perpignan (Pyrénées-Orientales) a validé ce mercredi la seule offre de reprise pour cette société née sur les cendres de Spanghero et placée en redressement judiciaire en juin.
L'ancien rugbyman de 75 ans, Laurent Spanghero, reconverti dans l'agroalimentaire, avait repris en juillet 2013 sous le nom La Lauragaise la société de produits cuisinés Spanghero qu'il avait fondée en 1970 et qu'il avait dirigée pendant plus de 30 ans avant de la céder en 2009 à la coopérative Lur Berri.
La Lauragaise avait repris 95 des 240 salariés de l'ex-Spanghero liquidée en avril 2013 après avoir été désignée comme la principale responsable du scandale européen de la viande de cheval vendue pour du bœuf.
Laurent Spanghero a justifié le redressement judiciaire par des « difficultés de trésorerie et un manque d'activité », aggravés par le montant du crédit-bail contracté pour la reprise de la société.
Le projet industriel de la CA Holding Larnaudie mise sur la reprise de 86 postes sur la centaine que compte le site, laproduction de 600 tonnes supplémentaires en 2014 et de 1 500 tonnes en 2015, contre 2 800 actuellement. Le groupeagroalimentaire envisage un chiffre d'affaires de 12,6 millions d'euros en 2015 et le retour à l'équilibre en 2017.
L'entreprise bretonne devrait continuer à tourner au ralenti cet été. Les industriels ne se bousculent pas pour proposer une offre de reprise.
Leurs lèvres disent oui, mais leur portefeuille reste cadenassé. Aucun industriel français présent dans le secteur de la volaille n'a pour l'instant l'intention de reprendre Tilly Sabco. L'entreprise emploie 340 salariés à Guerlesquin (Finistère) mais « pèse » un millier d'emplois avec les éleveurs et les fournisseurs. Pas de repreneur donc pour le volailler breton spécialisé dans la vente de poulets congelés à destination des pays du Moyen-Orient.
Certes, il y a bien un marché. Mais les Français n'y sont plus compétitifs sans le recours des aides européennes aujourd'hui supprimées. Gilbert Gleonec, de la CGT, qui participait à une réunion de la filière vendredi à Rennes, veut croire à un nouveau sursis.
Les éleveurs ont garanti un approvisionnement pour 450 000 poulets par semaine au mois de septembre. Selon le syndicaliste, cela représente deux jours de travail hebdomadaires. Reste à savoir si l'État continuera à offrir une garantie de paiement.
Vendredi soir, le préfet n'a pas souhaité s'exprimer. En Europe, les bretons Tilly Sabco et Doux sont parmi les derniers à être encore présents sur ce marché
.
Mardi, l'UL CGT d'Auray a tenu une permanence, place Hoche, pour informer les saisonniers sur leurs conditions de travail et répondre à leurs questions.
Un livret explicatif était remis aux saisonniers qui passaient à proximité, mais également aux employeurs. Sabine Génission, pilote du collectif CGT saisonniers au niveau national, était également présente à Quiberon. « Nous avons trois objectifs. Tout d'abord, nous souhaitons faire connaître aux saisonniers leurs droits, car 65 % d'entre eux disent ne pas les connaître. Nous souhaitons intervenir sur la question du logement et des conditions de vie, qui sont souvent précaires. Enfin, nous souhaitons montrer que la CGT est présente au niveau local », explique Sabine Génisson, la jeune militante.
La physionomie de l'emploi saisonnier a fortement évolué. « Auparavant, les jeunes venaient pour se faire une expérience. Désormais, ils viennent pour subvenir à leurs besoins et payer les études », ajoute-t-elle.
L'UL CGT du pays d'Auray dénonce, à Quiberon, un manque de logement pour les saisonniers : « On les envoie tous au camping municipal de Kerné, sur la côte sauvage. Alors même que ce camping est à quelques kilomètres du centre-ville. Il faut se mettre à la place des saisonniers qui n'ont pas de voiture pour se déplacer », poursuit-elle.
Les patrons viennent également se renseigner pour trouver des réponses à leurs questionnements. Dans le livret que la CGT met à disposition, tout est expliqué en termes de droit. Car pour Sabine Génisson, « les jobs d'été deviennent des jobs nécessité, mais la saisonnalité ne doit plus rimer avec précarité ».
Pour plus d'informations, une ligne d'urgence d'aide aux saisonniers est ouverte 7j/7 et 24 h/24, il s'agit du 06 37 16 15 73.
La CGT vient de prendre connaissance du rapport intitulé : « l’avenir des juridictions du travail, vers un tribunal du XXI ème siècle ».
Ce rapport, commandé par la Garde des Sceaux auprès du Président de la Chambre sociale de la Cour de Cassation, Monsieur Lacabarats, est une attaque en règle contre la justice du travail.