L e communiqué de la Fédération Nationale Agroalimentaire et Forestière CGT sur les salariés détachés par ici
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L e communiqué de la Fédération Nationale Agroalimentaire et Forestière CGT sur les salariés détachés par ici
Un article paru dans le Courrier indépendant concernant l'action de LA CGT contre le président de la CIDERAL le 10 juin, à Saint Brieuc contre la discrimination syndicale.
CGT - FSU - SOLIDAIRES - UNEF - UNL - FIDL
Nos organisations syndicales n’ont pas attendu le résultat des élections européennes de dimanche pour mesurer le danger de l’extrême droite pour les salarié-es. Nous sommes en effet engagé-es depuis plusieurs mois dans une campagne commune intersyndicale contre l’extrême droite, ses idées, ses pratiques.
Les agents territoriaux étaient conviés par la fédération CGT des Services publics, ce mercredi 21 mai, à se rencontrer à Montreuil pour échanger sur leurs conditions de travail et leurs actions. Parmi les sujets abordés, la vie et le travail dans les villes conquises par l’extrême droite.
Les mairies Front National ou apparentées évitent souvent, pour l’instant, l’affrontement direct. Les pressions peuvent aussi être « indirectes », voire « insidieuses ». Les maires d’extrême droite commencent ainsi en essayant de montrer un visage respectable, rassurant, et disent vouloir gérer les communes en « bon père de famille ». Cela s’accompagne de promesses de stabilisation ou de baisse des impôts, mais sans préciser où, quand et comment les économies vont être réalisées.
C’est alors que surviennent les baisses ou les suppressions des subventions aux associations, mesures qui impactent tant le tissu associatif – le plus souvent dans les quartiers les moins riches – que les unions locales CGT. À cela s’ajoutent aussi des cas de remise en cause des modalités d’occupation et d’utilisation des locaux et du matériel mis à disposition. On relate aussi plusieurs cas de mise au placard, de rétrogradation, de blocage ou de retards dans les avancements ou dans les changements de statut de personnels syndiqués.
Dans leur assemblée générale du dimanche 25 mai, les Fralibs ont décidé à l’unanimité d’approuver la
signature d’un protocole d’accord avec le groupe UNILEVER, permettant d’ouvrir de réelles perspectives
de construction de leur SCOP. Le ministère du Travail et la Présidence de la République se sont investis
dans la dernière ligne droite et ont participé à la réalisation de ce protocole d’accord par leur engagement .
La suite du communiqué de presse de la Fédération agroalimentaire CGT en cliquant ici.
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« La pensée politique qui accompagnait l’histoire de la Résistance n’a pas été enseignée » , déplore le cinéaste Gilles Perret. Son nouveau film, "Les jours heureux" vient à point rappeler l’importance des acquis du programme du Conseil national de la Résistance, qui ne cessent d’être détricotés. Sous prétexte de juguler des déficits, les attaques continuent contre les acquis du programme du Conseil national de la Résistance (CNR). La Cour des comptes, dans son rapport annuel sur les comptes de la Sécurité sociale, prône entre autres la fin de la prise en charge des frais d’optique, tandis que le gouvernement pond une énième réforme des retraites qui entend allonger les durées de cotisation.
C’est dire si le film de Gilles Perret, Les jours heureux, est plus que jamais utile. Rappeler les réalisations d’hier pour mieux les défendre. Un tel projet cinématographique demande un sacré engagement. Le réalisateur n’en manque pas. "Il était urgent de recueillir les propos des anciens résistants grâce à qui est né le programme politique et social mis en œuvre après la Libération." cinématographique français. On y suivait le parcours d’un patron haut-savoyard, dont l’entreprise, comme plusieurs centaines dans la vallée de l’Arve, était spécialisée dans l’industrie du décolletage. Prisonnier de l’actionnariat (un fonds de pension) qui réclamait toujours plus de dividendes, ce patron a délocalisé une partie de sa production en Chine et en République tchèque. Mais ce raisonnement à court terme va vite montrer ses limites… Bien qu’un peu confuse, mais donnant la parole aux acteurs du monde de l’entreprise, cette première rencontre entre le cinéaste et le grand public marque le début d’un parcours d’engagement cinématographique qui se poursuit avec Walter, retour en résistance en 2009, De mémoires d’ouvriersen 2012 et Les jours heureux aujourd’hui. électronique, mais je me suis toujours intéressé à la politique. Fils d’ouvrier dans un milieu où ils sont rares, je ne me suis pas senti de cette “élite de la nation” et j’ai gardé une distance avec ce monde. Objecteur de conscience, j’ai pendant deux ans effectué mon service civil dans une télévision locale, où j’ai un peu appris à tout faire, puis, je me suis lancé, avec un collègue journaliste, dans le film “de montagne”. L’un de nos films, Trois frères pour une vie, qui parle de trois de mes voisins vivant dans une ferme très moderne – un film ni misérabiliste, ni passéiste – a été primé dans plusieurs festivals, ce qui m’a donné les moyens de tourner d’autres films. »
Nous n’avons pas le droit
cinéma de Gilles Perret. Est-ce parce que, orphelin de mère tout jeune et élevé par son père, ouvrier dans une usine de machines-outils et militant CGT, il trouve dans son entourage proche des personnalités fortes, dont l’approche humaniste le touche ? Outre son père, le réalisateur cite l’écrivain John Berger, son voisin dans son village de Haute-Savoie, qui lui a beaucoup appris, « sans prosélytisme et avec un grand respect des gens ». Les pieds bien ancrés dans son territoire haut-savoyard, Gilles Perret y puise un équilibre revendiqué : « Les gens que je côtoie ne sont pas que des professionnels du cinéma, ça me permet de relativiser. » de produire un film en toute liberté. Comme il le constatera en préparant Les jours heureux, qui reprend le beau titre du programme du Conseil national de la Résistance. Étonnamment et malheureusement, après le succès de Walter, retour en résistance (plus de trente mille spectateurs) – qui va ensuite donner l’idée du livre Indignez-vous ! à Stéphane Hessel et à ses éditeurs –, toutes les chaînes de télévision repoussent le projet. " J’ai trouvé cela très injuste, car mon film n’était ni irrévérencieux, ni malhonnête." "On s’est fait jeter de partout et je ne l’ai pas bien digéré ! On me demandait, alors que le projet indiquait clairement qu’on y parlait du programme du Conseil national de la Résistance, de faire un film “pas politique” ! À la direction du documentaire de France 3, l’entretien a dû durer dix secondes. C’était “trop compliqué” pour les téléspectateurs de France 3. Heureusement, mon producteur et le public ont montré qu’ils n’étaient pas de cet avis. » présents. Au bout d’un an, France 3 Rhône-Alpes et France 3 Auvergne mettent la main à la poche. « Nous avions alors un budget satisfaisant, qui nous a permis d’accéder aux archives que nous souhaitions utiliser et d’avoir le temps de tournage qui nous semblait nécessaire. » qui avait amené le cinéaste à s’indigner de la manière dont Nicolas Sarkozy était venu, avec une désinvolture méprisante, se pavaner au plateau des Glières, haut lieu de la Résistance en Haute-Savoie. Et ce, alors que toute sa politique entendait démolir les acquis sociaux du Conseil national de la Résistance… mais aussi à un exercice d’éducation populaire. « Il me fallait recueillir dans l’urgence leurs propos avant qu’ils ne partent, mais aussi combler un manque sur l’importance du programme du CNR. Pour quelqu’un comme Raymond Aubrac, c’est le combat d’une vie, et il était d’ailleurs très content que ce film se fasse. Bien que très âgés, Stéphane Hessel, Raymond Aubrac, Léon Landini ou Daniel Cordier mettent de la chair dans leurs paroles. Ce n’est pas un film froid. Même si depuis trente ans, tous ces acquis s’effondrent, ils ont la même combativité, ils ne se sont pas endormis… J’ai fait ce film parce qu’on en a fait des icônes, mais on a oublié leur projet… » du Medef, déclarait à la presse vouloir « défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance »au bénéfice du modèle néolibéral dominant. autant que les attentes populaires ont changé ? « Je ne le crois pas. Car la santé pour tous, l’énergie comme bien commun, la liberté de la presse, la retraite sont au cœur des préoccupations des Français. Mais je crois qu’on ne parle pas assez de cette manière des acquis sociaux depuis trente ans que passe et repasse le rouleau compresseur idéologique néolibéral. Je voulais donc réexpliquer clairement les choses et l’exemple de ces nonagénaires est important. Lorsque Raymond Aubrac est arrêté, le 21 juin 1943, avec Jean Moulin, qui aurait dit alors que deux ans après, le programme du CNR existerait ? »
La casse continue profit. Avec les retraites et le mirage des fonds de pension, avec les banques privatisées et hors de tout contrôle, avec la presse mise sous la coupe de groupes financiers qui n’y voient qu’un produit comme un autre, avec les services publics, abandonnés par le gouvernement socialiste dès les années 1990 et mis à mort dans les années 2000 par Nicolas Sarkozy à grand renfort de privatisation par morceaux, avec le travail, émietté, précarisé, morcelé, dévalorisé… Le recul de l’État est proportionnel à l’avancée de l’actionnaire roi pendant que les salariés, la force productive, sont laissés sur le carreau et leurs droits mis en pièces. explique : « Entre mai 1943 et mars 1944, sur le territoire français encore occupé, seize hommes appartenant à tous les partis politiques, tous les syndicats et tous les mouvements de Résistance vont changer durablement le visage de la France. Ils vont rédiger le programme du Conseil national de la Résistance, intitulé magnifiquement : “Les jours heureux”. Ce programme est encore au cœur du système social français puisqu’il a donné naissance à la Sécurité sociale, aux retraites par répartition, aux comités d’entreprise, à la liberté de la presse, etc. Ce film vise à retracer le parcours de ces lois, pour en réhabiliter l’origine qui a aujourd’hui sombré dans l’oubli. Raconter comment une utopie folle dans cette période sombre devint réalité à la Libération. Raconter comment ce programme est démantelé depuis. Questionner la réalité sociale d’aujourd’hui, et voir comment les valeurs universelles portées par ce programme pourraient irriguer le monde de demain. » pour défendre ces valeurs cruciales et qu’adviennent, demain, « les jours heureux »…
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Que pense la CGT du "ras-le-bol fiscal" des Français ? Qu'a t'elle a dire sur ce sujet brûlant ? Paie-t-on trop d'impôts en France ? Qui paie le plus ? Qui paie le moins ? Ou va l'argent des contribuables ? A l'occasion de la sortie de la VO impôts 2014, la rédaction web de la Nouvelle Vie Ouvrière décrypte pour vous deux impôts bien connus des ménages français : la TVA et l'impôt sur le revenu.
LE 3 JUIN 2014 RASSEMBLEMENT 11 HEURES PLACE JOFFRE FACE A LA TOUR EIFFEL Métro : Ecole Militaire.
Pour un pique-nique de lutte qui sera suivi d’une manifestation nationale jusqu’au Ministère des personnes âgées.
Départ en Car du Morbihan.
http://www.ucr.cgt.fr/administration/upload_actu/tract_adhesion.pdf