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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 22:50

L e communiqué de la Fédération Nationale Agroalimentaire et Forestière CGT sur les salariés détachés par ici

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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 21:25

Un article paru dans le Courrier indépendant concernant l'action de LA CGT contre le président de la CIDERAL le 10 juin, à Saint Brieuc contre la discrimination syndicale.

 

Article courrier indépendant

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28 mai 2014 3 28 /05 /mai /2014 22:08
Plus que jamais « Uni-es contre l’extrême droite »

CGT - FSU - SOLIDAIRES - UNEF - UNL - FIDL

Nos organisations syndicales n’ont pas attendu le résultat des élections européennes de dimanche pour mesurer le danger de l’extrême droite pour les salarié-es. Nous sommes en effet engagé-es depuis plusieurs mois dans une campagne commune intersyndicale contre l’extrême droite, ses idées, ses pratiques.

L'appel des organisations syndicales ici

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28 mai 2014 3 28 /05 /mai /2014 22:06

Les agents territoriaux étaient conviés par la fédération CGT des Services publics, ce mercredi 21 mai, à se rencontrer à Montreuil pour échanger sur leurs conditions de travail et leurs actions. Parmi les sujets abordés, la vie et le travail dans les villes conquises par l’extrême droite.

Les mairies Front National ou apparentées évitent souvent, pour l’instant, l’affrontement direct. Les pressions peuvent aussi être « indirectes  », voire « insidieuses  ». Les maires d’extrême droite commencent ainsi en essayant de montrer un visage respectable, rassurant, et disent vouloir gérer les communes en « bon père de famille ». Cela s’accompagne de promesses de stabilisation ou de baisse des impôts, mais sans préciser où, quand et comment les économies vont être réalisées.

C’est alors que surviennent les baisses ou les suppressions des subventions aux associations, mesures qui impactent tant le tissu associatif – le plus souvent dans les quartiers les moins riches – que les unions locales CGT. À cela s’ajoutent aussi des cas de remise en cause des modalités d’occupation et d’utilisation des locaux et du matériel mis à disposition. On relate aussi plusieurs cas de mise au placard, de rétrogradation, de blocage ou de retards dans les avancements ou dans les changements de statut de personnels syndiqués.

 

La suite du reportage ici

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28 mai 2014 3 28 /05 /mai /2014 21:59

 

Dans leur assemblée générale du dimanche 25 mai, les Fralibs ont décidé à l’unanimité d’approuver la 

signature d’un protocole d’accord avec le groupe UNILEVER, permettant d’ouvrir de réelles perspectives 

de construction de leur SCOP. Le ministère du Travail et la Présidence de la République se sont investis 

dans la dernière ligne droite et ont participé à la réalisation de ce protocole d’accord par leur engagement .

 

La suite du communiqué de presse de la Fédération agroalimentaire CGT en cliquant ici.

 

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 22:28
 

« La pensée politique qui accompagnait l’histoire de la Résistance n’a pas été enseignée »

, déplore le cinéaste Gilles Perret. Son nouveau film, "Les jours heureux" vient à

point rappeler l’importance des acquis du programme du Conseil national de la

Résistance, qui ne cessent d’être détricotés.

Sous prétexte de juguler des déficits, les attaques continuent contre les acquis du

programme du Conseil national de la Résistance (CNR). La Cour des comptes, dans son

rapport annuel sur les comptes de la Sécurité sociale, prône entre autres la fin de la prise

en charge des frais d’optique, tandis que le gouvernement pond une énième réforme

des retraites qui entend allonger les durées de cotisation.

 

C’est dire si le film de Gilles Perret, Les jours heureux, est plus que jamais utile. Rappeler

les réalisations d’hier pour mieux les défendre. Un tel projet cinématographique demande un sacré engagement. Le réalisateur n’en manque pas.

"Il était urgent de recueillir les propos des anciens résistants

grâce à qui est né le programme politique et social mis en œuvre après la

Libération."


En 2006, son premier film, Ma mondialisation, tranchait singulièrement avec le paysage

cinématographique français. On y suivait le parcours d’un patron haut-savoyard, dont

l’entreprise, comme plusieurs centaines dans la vallée de l’Arve, était spécialisée

dans l’industrie du décolletage. Prisonnier de l’actionnariat (un fonds de pension) qui réclamait

toujours plus de dividendes, ce patron a délocalisé une partie de sa production en Chine et

en République tchèque. Mais ce raisonnement à court terme va vite montrer ses limites…

Bien qu’un peu confuse, mais donnant la parole aux acteurs du monde de l’entre­prise,

cette première rencontre entre le cinéaste et le grand public marque le début d’un parcours

d’engagement cinéma­tographique qui se poursuit avec Walter, retour en résistance 

en 2009, De mémoires d’ouvriersen 2012 et Les jours heureux aujourd’hui.


Un chemin dont Gilles Perret nous confie la genèse : « J’ai une formation d’ingénieur en

électronique, mais je me suis toujours intéressé à la politique. Fils d’ouvrier dans un

milieu où ils sont rares, je ne me suis pas senti de cette “élite de la nation” et j’ai gardé

une distance avec ce monde. Objecteur de conscience, j’ai pendant deux ans effectué mon

service civil dans une télévision locale, où j’ai un peu appris à tout faire, puis, je me suis

lancé, avec un collègue journaliste, dans le film “de montagne”. L’un de nos films, 

Trois frères pour une vie, qui parle de trois de mes voisins vivant dans une ferme très

moderne – un film ni misérabiliste, ni passéiste – a été primé dans plusieurs festivals, ce qui

m’a donné les moyens de tourner d’autres films. »

 

Nous n’avons pas le droit 
de nous endormir

 


Transmettre

L’idée d’éducation populaire et de transmission entre générations est très présente dans le

cinéma de Gilles Perret. Est-ce parce que, orphelin de mère tout jeune et élevé par son père,

ouvrier dans une usine de machines-outils et militant CGT, il trouve dans son entourage

proche des personnalités fortes, dont l’approche humaniste le touche ? Outre son père, le

réalisateur cite l’écrivain John Berger, son voisin dans son village de Haute-Savoie, qui lui

a beaucoup appris, « sans prosélytisme et avec un grand respect des gens ». Les pieds bien

ancrés dans son territoire haut-savoyard, Gilles Perret y puise un équilibre revendiqué :

 « Les gens que je côtoie ne sont pas que des professionnels du cinéma, ça me permet de

relativiser. »


Une indépendance d’esprit qui ne lui ouvre pas aisément la porte des nécessaires moyens

de produire un film en toute liberté. Comme il le constatera en préparant Les jours heureux,

qui reprend le beau titre du programme du Conseil national de la Résistance.

Étonnamment et malheureusement, après le succès de Walter, retour en résistance (plus

de trente mille spectateurs) – qui va ensuite donner l’idée du livre Indignez-vous ! à

Stéphane Hessel et à ses éditeurs –, toutes les chaînes de télévision repoussent le projet.

" J’ai trouvé cela très injuste, car mon film n’était ni irré­vérencieux, ni malhonnête."

"On s’est fait jeter de partout et je ne l’ai pas bien digéré ! On me demandait, alors que le

projet indiquait clairement qu’on y parlait du programme du Conseil national de la Résistance,

de faire un film “pas politique” ! À la direction du documentaire de France 3, l’entretien a

dû durer dix secondes. C’était “trop compliqué” pour les téléspectateurs de France 3.

Heureusement, mon producteur et le public ont montré qu’ils n’étaient pas de cet avis. »


Une souscription est lancée, et aussi bien particuliers que comités d’entreprise répondent

présents. Au bout d’un an, France 3 Rhône-Alpes et France 3 Auvergne mettent la main à

la poche. « Nous ­avions alors un budget satisfaisant, qui nous a permis d’accéder aux

archives que nous souhaitions utiliser et d’avoir le temps de tournage qui nous semblait

­nécessaire. »


Éducation populaire

Les jours heureux creuse le sillon de mémoire débuté avec Walter, retour en résistance,

qui avait amené le cinéaste à s’indigner de la manière dont Nicolas Sarkozy était venu,

avec une désinvolture méprisante, se pavaner au plateau des Glières, haut lieu de la Résistance

en Haute-Savoie. Et ce, alors que toute sa politique entendait démolir les acquis sociaux

du Conseil national de la Résistance… 
Interrogeant les anciens résistants survivants, Gilles Perret se livre à un passage de témoin,

mais aussi à un exercice d’éducation populaire. « Il me fallait recueillir dans l’urgence leurs

propos avant qu’ils ne partent, mais aussi combler un manque sur l’importance du

programme du CNR. Pour quelqu’un comme Raymond Aubrac, c’est le combat d’une

vie, et il était d’ailleurs très content que ce film se fasse. Bien que très âgés, Stéphane

Hessel, Raymond Aubrac, Léon Landini ou Daniel Cordier mettent de la chair dans leurs

paroles. Ce n’est pas un film froid. Même si depuis trente ans, tous ces acquis

s’effondrent, ils ont la même combativité, ils ne se sont pas endormis… J’ai fait ce

film parce qu’on en a fait des icônes, mais on a oublié leur projet… »

 
La solidarité attaquée



Ces résistants se sont d’autant moins endormis qu’en 2007, Denis Kessler, alors vice-président

du Medef, déclarait à la presse vouloir « défaire méthodiquement le programme du Conseil

national de la Résistance »au bénéfice du modèle néolibéral dominant.
Aujourd’hui, alors que ces acquis sociaux sont peu à peu détricotés, cela signifie-t-il pour

autant que les attentes populaires ont changé ? « Je ne le crois pas. Car la santé pour

tous, l’énergie comme bien commun, la liberté de la presse, la retraite sont au cœur des

préoccupations des Français. Mais je crois qu’on ne parle pas assez de cette manière des

acquis sociaux depuis trente ans que passe et repasse le rouleau compresseur idéologique

néolibéral. Je voulais donc réexpliquer clairement les choses et l’exemple de ces

nonagénaires est important. Lorsque Raymond Aubrac est arrêté, le 21 juin 1943, avec

Jean Moulin, qui aurait dit alors que deux ans après, le programme du CNR existerait ? »

 

La casse continue

 C’est en effet la notion même de soli­darité qui est attaquée de toutes parts au nom du

profit. Avec les retraites et le mirage des fonds de pension, avec les banques privatisées

et hors de tout contrôle, avec la presse mise sous la coupe de groupes financiers qui

n’y voient qu’un produit comme un autre, avec les services publics, abandonnés par

le gouvernement socialiste dès les années 1990 et mis à mort dans les années 2000 par

Nicolas Sarkozy à grand renfort de privatisation par morceaux, avec le travail, émietté,

précarisé, morcelé, dévalorisé… Le recul de l’État est proportionnel à l’avancée de l’actionnaire

roi pendant que les salariés, la force productive, sont laissés sur le carreau et leurs droits mis

en pièces.


Réhabiliter l’origine des acquis sociaux

Pour combattre et rappeler que ce démantèlement n’est pas une fatalité, le film de Gilles Perret

explique : « Entre mai 1943 et mars 1944, sur le territoire français encore occupé,

seize hommes appartenant à tous les partis politiques, tous les syndicats et tous les

mouvements de Résistance vont changer durablement le visage de la France. Ils

vont rédiger le programme du Conseil national de la Résis­tance, intitulé magnifiquement :

“Les jours heureux”. Ce programme est encore au cœur du système social français

puisqu’il a donné naissance à la Sécurité sociale, aux retraites par répartition, aux comités

d’entre­prise, à la liberté de la presse, etc. Ce film vise à retracer le parcours de ces

lois, pour en réhabiliter l’origine qui a aujourd’hui sombré dans l’oubli. Raconter comment

une utopie folle dans cette période sombre devint réalité à la Libération. Raconter

comment ce programme est démantelé depuis. Questionner la réalité sociale

d’aujourd’hui, et voir comment les valeurs universelles portées par ce programme

pourraient irriguer le monde de demain. »


Alors l’action continue, notamment avec Citoyens résistants d’hier et d’aujourd’hui,

pour défendre ces valeurs cruciales et qu’adviennent, demain, « les jours heureux »…

 

 

 

 

 

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 22:21

Que pense la CGT du "ras-le-bol fiscal" des Français ? Qu'a t'elle a dire sur ce sujet brûlant ? Paie-t-on trop d'impôts en France ? Qui paie le plus ? Qui paie le moins ? Ou va l'argent des contribuables ? A l'occasion de la sortie de la VO impôts 2014, la rédaction web de la Nouvelle Vie Ouvrière décrypte pour vous deux impôts bien connus des ménages français : la TVA et l'impôt sur le revenu.

 


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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 22:00
Un documentaire, qui date de deux ans, sur les structures et le fonctionnement de notre syndicat. 

 

 

 

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 21:54
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9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 07:16

LE 3 JUIN 2014 RASSEMBLEMENT 11 HEURES PLACE JOFFRE FACE A LA TOUR EIFFEL Métro : Ecole Militaire.

 

   

Pour un pique-nique de lutte qui sera suivi d’une manifestation nationale jusqu’au Ministère des personnes âgées.

Départ en Car du Morbihan.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

http://www.ucr.cgt.fr/administration/upload_actu/tract_adhesion.pdf


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