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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 21:55

La CGT a annoncé le blocage de l’usine

jeudi 23 mai 2013 , par Sabine Ferry

Le tribunal de commerce d’Arras a prononcé mercredi 22 mai la liquidation judiciaire du fabricant de lasagnes Fraisnor, avec poursuite de l’activité jusqu’au 31 mai. Suite au scandale sanitaire de la viande de cheval, la production du fabricant de lasagnes avait chuté de 60%. 110 personnes vont perdre leur emploi.

La CGT a annoncé son intention de bloquer l’usine, ainsi que « d’autres formes d’action dans les jours à venir ». « Le tribunal par sa décision donne raison à la mafia viande et cautionne le scandale des viandes de cheval », regrette Christian Delépine, représentant CGT. Le syndicaliste dénonce la direction « qui n’a pas fait preuve de la détermination nécessaire pour mettre en œuvre une stratégie de développement industriel » et son « refus de recapitaliser l’entreprise ».

Fraisnor avait été placé en redressement judiciaire le 6 mars dernier, avec une période d’observation de deux mois, à la suite de cet effondrement des ventes lié au scandale de la viande de cheval. La société fabriquait chaque mois 700 tonnes de lasagnes fraîches, en majorité au bœuf et au porc, vendues dans toutes les grandes et moyennes surfaces françaises, sous marque distributeur.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 21:52
La CGT organise une vente de lasagnes solidaire à Fraisnor, samedi 25 maiLa CGT organise une vente de lasagnes solidaire à Fraisnor, samedi 25 mai

 

 

Au lendemain de la décision du tribunal de commerce, qui a prononcé la liquidation du fabriquant de lasagnes Fraisnor, la CGT a annoncé qu'elle organiserait une vente de lasagnes solidaire, à l'usine, samedi 25 mai dès 14 heures.

Il s'agit des lasagnes qu'il reste dans les stocks réfrigérés de l'entreprise et qui n'ont pas pu être livrées aux clients de Fraisnor.

 

 

 

 

L'Avenir de l'Artois - Le 23/05/2013

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 21:50
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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 21:48

 

La CGT du groupe Doux a estimé que le nouvel actionnaire majoritaire de Doux était un financier au passé sulfureux, sans projet industriel, dont le seul but était d’en sortir au plus vite avec une confortable plus-value.

Mardi, lors d'une audience devant le tribunal de commerce de Quimper, le groupe Doux a annoncé la signature d'un accord de principe avec Didier Calmels en vue de l'entrée au capital de sa holding, Développement et Partenariat (D&P). L'homme d'affaires a annoncé son intention de prendre les deux tiers du capital du volailler Doux,  en rachetant pour 150 millions d’euros de dettes à la banque Barclays, somme reconvertie en actions. La famille Doux, qui détient actuellement 80% du capital, et BNP Paribas, qui en détient 20%, conserveraient un tiers du capital.

"Aujourd'hui, déplore la CGT dans un communiqué, ce n'est pas d'un financier que l'on a besoin, mais d'un industriel avec un vrai projet pour le groupe mais aussi pour la filière". "Si les pouvoirs publics considèrent que Doux est une pièce stratégique de la filière, soutient la CGT, alors ils doivent mobiliser, avec le FSI (le Fonds stratégique d'investissement, ndlr) par exemple, des ressources pour assurer sa pérennité, sans passer par des +fonds de retournement+ au passé sulfureux, dont on sait que le seul objectif est de ressortir au plus tôt avec une plus value".
Pour la CGT, la liquidation judiciaire, prononcée mi-mai, de l'abattoir de Doux à Pleucadeuc (Morbihan), qui emploie 147 personnes, avait un but: " il fallait faire place nette pour le +sauveur+", analyse le syndicat qui rappelle que plus de 1.000 emplois ont été supprimés dans le groupe depuis un an, et que seuls "environ 200 salariés ont retrouvé un emploi", dont "seulement 18 en CDI".

"On va rester prudents tant qu'on ne connaît pas l'investisseur, tant qu'on ne l'a pas vu, tant qu'il ne s'est pas présenté, tant qu'on ne sait pas sa stratégie, ce qu'il va faire, combien de temps il va rester", a déclaré de son côté Patricia Le Bars, déléguée centrale CFDT de Doux.  
"Il y a beaucoup d'inconnues, notamment sur la position de cet investisseur. Il y a des interrogations sur sa stratégie, la durée de sa présence", a abondé Nadine Hourmant, déléguée centrale FO de Doux, disant souhaiter que M. Calmels s'engage sur le long terme auprès du groupe.

L'Humanité - le 23/05/2013

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 21:45
Le logo de volailler Doux à Chateaulin dans l'ouest de la France
Le logo de volailler Doux à Chateaulin dans l'ouest de la France (Photo Fred Tanneau. AFP)

La CGT du groupe Doux a estimé jeudi, deux jours après l’annonce de l’entrée au capital du volailler de l’homme d’affaires Didier Calmels, que le groupe avait besoin non pas d’un «financier», mais d’un «industriel avec un vrai projet».

«Aujourd’hui, plaide le syndicat dans un communiqué, ce n’est pas d’un financier que l’on a besoin, mais d’un industriel avec un vrai projet pour le groupe mais aussi pour la filière».

«Si les pouvoirs publics considèrent que Doux est une pièce stratégique de la filière, soutient la CGT, alors ils doivent mobiliser, avec le FSI (le Fonds stratégique d’investissement, NDLR) par exemple, des ressources pour assurer sa pérennité, sans passer par des +fonds de retournement+ au passé sulfureux, dont on sait que le seul objectif est de ressortir au plus tôt avec une plus value».

L’homme d’affaires Didier Calmels a annoncé son intention de prendre les deux tiers du capital du volailler Doux, permettant à l’entreprise de fortement réduire son endettement alors qu’elle se trouve en redressement judiciaire depuis près d’un an.

Ce spécialiste du retournement d’entreprise, agissant à travers sa holding Développement et Partenariat (D&P), va racheter les créances de la Barclays Bank, premier créancier du groupe avec quelque 150 millions d’euros (intérêts échus compris), a assuré mardi Régis Valliot, administrateur judiciaire de Doux.

Cette créance serait ensuite convertie en actions, ce qui conférerait à D&P les deux-tiers du groupe.

Pour la CGT, la liquidation judiciaire, prononcée mi-mai, de l’abattoir de Doux à Pleucadeuc (Morbihan), qui emploie 147 personnes, avait un but: » il fallait faire place nette pour le +sauveur+», analyse le syndicat qui rappelle que plus de 1.000 emplois ont été supprimés dans le groupe depuis un an, et que seuls «environ 200 salariés ont retrouvé un emploi», dont «seulement 18 en CDI».

Le communiqué du syndicat intervient alors que le tribunal de commerce de Quimper doit rendre ce jeudi sa décision sur une éventuelle prolongation de la période d’observation du volailler, en redressement judiciaire depuis près d’un an.

Libération - le 23/05/2013

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 10:19
Une majorité des 68 salariés présents à l'usine Val d'Aucy de Ciel en Saône-et-Loire, a fait grève mardi 7 mai à l'appel de la CGT. Le syndicat avait convoqué une assemblée générale extraordinaire, au cours de laquelle des solutions ont été présentées pour poursuivre l'activité.
  • C.R.
  • Publié le 07/05/2013 | 18:32, mis à jour le 07/05/2013 | 18:41

usine_daucy_1.jpg

Le mouvement de grève observé le mardi 7 mai 2013 a provoqué l'arrêt complet de l'activité de l'usine de Ciel (71). Lors de l'assemblée générale extraordinaire, la CGT a présenté des plans alternatifs, susceptibles de permettre une poursuite de l'activité. L'usine produit actuellement des plats cuisinés et des légumes en conserve.


Le groupe CECAB avait annoncé la fermeture du site pour février 2013. Mais il est toujours en activité. La CGT a consulté un cabinet d'expertise qui envisage d'autres activités : fabrication de soupes, de compotes de fruits, ouverture d'un magasin d'usine créant des circuits directs avec des producteurs locaux... Ce cabinet doit maintenant chiffrer le coût de telles activités.

Cette A.G. extraordinaire est la dernière action en date des salariés pour sauver le site de Ciel et ses 150 équivalent temps plein.

France 3- Le 7/05/2013

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12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 10:17

Mercredi 15 mai, le tribunal de commerce d’Arras va se prononcer sur l’avenir du fabricant de lasagnes fraîches Fraisnor, actuellement en redressement judiciaire. Continuation ou liquidation ? Pour la CGT, rien n’est possible sans la concrétisation immédiate du rachat des locaux de l’entreprise, par la communauté urbaine d’Arras.

 C’est le 15 mai que le tribunal de commerce scellera l’avenir de Fraisnor.
 

Mercredi, un plan de continuation de l’activité de Fraisnor sera présenté devant le tribunal de commerce d’Arras. Lequel statuera ensuite sur les suites à donner. Le plan prévoit notamment un redimensionnement de la production à 4 000 tonnes (contre 9 000 avant la chute des ventes), une augmentation du temps de travail et la suppression d’une cinquantaine de postes. Pour la CGT, en désaccord, il existe une « annexe » à « ce plan qui ne vaut rien » : « le maintien de tous les emplois et un investissement de 3 M € », signale Christian Delépine, secrétaire du comité d’entreprise. Une somme qui n’est pas réunie, et qui pourrait l’être, selon le syndicaliste, à l’aide de subventions et de prêts : « la Banque publique d’investissement sert à ça, à faire un prêt à une PME comme Fraisnor. »

Mais ce que la CGT Fraisnor attend avant tout, c’est la concrétisation immédiate de la proposition de rachat des locaux de l’usine, faite par la communauté urbaine d’Arras. Cette proposition avait émergé mi-mars. Elle a été actée en réunion de conseil communautaire le 21 mars. Dans la foulée, 300 000 €, sur les 2,6 M € contenus dans la promesse de vente, ont été versés par la communauté urbaine d’Arras, permettant notamment de payer les salaires d’avril. « On a appris à la réunion du comité de pilotage du 26 avril que la CUA n’achète pas si Fraisnor n’est pas sauvé. C’est du foutage de gueule, râle Christian Delépine. Le 15 mars, Philippe Rapeneau, le président de la CUA, a dit que même si Fraisnor ne s’en sort pas, il a le bâtiment dans ses actifs. Il l’a dit au conseil communautaire. Il a dit que les 2,5 M €, c’est un investissement. On a bien enregistré. Il reste 1,2 M € à verser. »

Pour Christian Delépine, il s’agit d’une « promesse non tenue », et d’une « trahison ». « On demande de tenir parole, poursuit le secrétaire du CE. Si on arrive mercredi 15 mai sans 1,2 M €, le tribunal prononcera la liquidation de Fraisnor, et on sera licenciés économiques avant fin mai. Le premier plan de redressement, sans ce 1,2 M € est impossible. Le deuxième plan nous importe. Il nous faut au moins six mois. Si c’est liquidé, c’est la seule responsabilité de Rapeneau. C’est une trahison. » Christian Delépine estime que cette somme permettrait de relancer l’activité, et de tenir jusqu’en octobre. « On veut bien nous aider si l’entreprise est sauvée. Mais pour sauver, il faut des aides. On tourne en rond. Peut-être plus pour très longtemps », s’agace un salarié.

Agacé, Philippe Rapeneau l’est aussi. Il confirme que la vente dépend du plan de continuation, entre les mains du tribunal de commerce, et nie avoir fait machine arrière. «L’idée, c’est de sauver Fraisnor. On propose de racheter le bâtiment pour que de l’argent soit réinjecté dans l’activité. Si, le 15 mai, l’entreprise n’existe plus, l’argent sera réinjecté où ? Le propriétaire ne va pas remettre de l’argent dans une société qui n’existe plus. Le plan de continuation, qui sera débattu le 15 mai, prend en compte l’achat du bâtiment. La seule condition dans l’achat de ce bâtiment, c’est que l’argent aille à l’entreprise. Si le plan de continuation prévoit de sauver cinquante emplois, je maintiens aussi les engagements contenus dans la promesse de vente signée devant notaire, et on rachète le bâtiment. »

Une grève de la faim se profile

Il était de l’occupation du silo sous la neige. Il a marché de Feuchy au palais de l’Élysée. Il entamera une grève de la faim, lundi. Olivier Renaut est l’homme des actions coup de poing. Sa grève de la faim, Olivier Renaut va l’entreprendre pour obtenir une intervention de l’État (prêt ou actionnariat), l’élaboration d’un plan de redressement « en conservant tous les emplois », mais aussi pour que « le tribunal de commerce fasse confiance aux travailleurs de Fraisnor en nous laissant du temps pour rebondir financièrement », et pour que « Monsieur Rapeneau s’engage à verser de suite la somme promise aux travailleurs de Fraisnor. »

La somme de 1,2 M € réclamée par la CGT est obtenue de l’estimation de la valeur des locaux de l’usine (2,5 M €) à laquelle sont soustraits un million d’hypothèque et les 300 000 € d’avance versés par la CUA. Une autre question relative à la vente n’a toujours pas obtenu de réponse. Il s’agit de l’exonération de taxe sur la plus-value relative à la vente, estimée à 500 000 €. Elle permettrait de réinvestir la somme dans la relance. La réunion interministérielle du 29 avril n’a pas livré de réponse. « On n’a pas de réponse sur un impôt qui n’existe pas. Il sera calculé en 2014. Si on gagne la survie de Fraisnor, au niveau imposition, ça n’a pas d’influence immédiate sur la trésorerie. On pourra négocier avec l’État en temps voulu », estime Christian Delépine.

Pour l’heure, la production est à l’arrêt. La trésorerie ne permet pas d’acheter la matière première pour produire et livrer les clients. Certains d’entre eux appliquent des pénalités de retard. « Personne ne nous a fait de cadeaux », décrit M. Delépine. Les transporteurs utilisent la loi Gayssot, qui leur permet de ponctionner la dette sur les factures adressées aux clients. « Tous les clients ont provisionné les créances transporteurs pour 720 000 € . »

Par BENOÎT FAUCONNIER

La voix du nord - le 10 mai 2013

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 14:53

Un CDI pour les intérimaires, mais pour quoi faire ?

 

L’hiver est terminé. Un hiver dur. Méthodiquement, le gouvernement poursuit la casse des acquis sociaux et reste sourd 

aux millions de français qui ont voté pour lui. Il a choisi son camp. Il s’est mis aux  ordres du MEDEF. En effet, l’hiver a été dur  mais rempli de résistances, de solidarités dans les luttes.

 

La suite du bulletin en cliquan sur la une de LA MECHE ci-dessous : 

 

lm9

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 14:49

Depuis le 1er mars, le PRISME (patronat du travail temporaire) et les organisations syndicales de la branche sont engagées dans la négociation sur la « sécurisation des parcours professionnels des salariés intérimaires » (CDI pour les intérimaires).

 La CGT a décidé de participer à ce processus dans l’objectif de sauvegarder et améliorer les droits sociaux des intérimaires par l’obtention d’un CDI de droit commun pour l’ensemble des salariés.

 Cette négociation a été volontairement mal engagée par le PRISME. Le patronat de la branche ayant fait le choix du passage en force pour imposer son tempo et la discussion autour de son projet. Pour la CGT, cette méthode est inacceptable.

 Au cours la réunion du 19 avril, le PRISME a fait savoir qu’il ne comptait pas négocier sur la mise en place d’unCDI de droit commun. L’ultime version du texte qu’il a présenté aux organisations syndicales exclu explicitement cette possibilité. Le patronat reste campé sur son objectif d’enfermer la discussion sur la base de son projet et ce contre l’avis quasi unanime de l’ensemble des organisations syndicales.

 Projet du PRISME:

  • CDI « optionnel » au choix de l’entreprise et non du salarié
  • « Lettre de mission », un nouveau type de contrat de travail temporaire greffé au CDI intérimaire. Ce qui remplacerait le contrat de mission actuel, remettant en cause le socle de droits sociaux actuels et gagnés de haute lutte.
  • Egalité de traitement au rabais, uniquement avec l’entreprise utilisatrice excluant les salariés des droits existant dans l’entreprise de travail temporaire.
  • Rémunération des périodes non travaillées entre deux missions (intermission) sur la base de l’indemnisation chômage (57,4% du salaire journalier brut)

La CGT a fait des propositions basées sur des axes essentiels :

  • Ouvrir le CDI de droit commun à TOUS les intérimaires (dans l’entreprise d’intérim ou dans l’entreprise utilisatrice).
  • Assurer la rémunération intégrale entre deux missions (le salarié est disponible pour travailler, il doit être payé).
  • Limiter la mobilité géographique et professionnelle.
  • Protéger le salarié de toute tentative de licenciement ou privation de mission d’intérim, en lui octroyant le droit de refuser la mobilité imposée, des conditions de travail dangereuses ou une mission pouvant entraîner une baisse de rémunération.
  • En cas de difficulté économique d’une agence, une entreprise d’intérim ou d’un bassin sinistré, la suppression individuelle ou collective, des CDI intérimaire, ne doit pas se traduire par la rupture du contrat de travail. Celui-ci doit se poursuivre jusqu'à l'obtention d'un nouvel emploi de niveau et de qualification et de salaire au moins égal.
  • Garantir à chaque salarié la reconnaissance de l’expérience professionnelle acquise, la qualification et le déroulement de carrière
  • Garantir à tous le droit à des congés payés effectifs.
  • Améliorer les droits sociaux existants (formation professionnelle, protection sociale, retraite, et.) par l’accès à tous les salariés sans condition d’ancienneté.
  • Garantir à tous la santé et la sécurité au travail (l'intérim ne doit plus être un risque en soit).
  • Prioriser le principe du traitement de faveur dans l’application de l’égalité des droits (droits existant dans l’entreprise utilisatrice et dans l’entreprise de travail temporaire)

Pour la CGT, le projet patronal n’est pas acceptable. Les enjeux sont énormes d’autant que le patronat européen et le MEDEF comptent sur cette négociation pour tirer vers le bas les droits sociaux de l’ensemble des travailleurs de ce pays et ainsi faire voler en éclats le modèle social français actuel des salariés intérimaires, un statut gagné par plus de 40 ans de luttes et qui se caractérise pour être le plus protecteur en Europe.

Les salariés intérimaires sont en attente de garanties collectives fortes et non d’une régression sociale sans précédent que le patronat veut imposer.

Prochaine étape de la négociation : les 31 mai et 14 juin 2013. 

L’Accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, signé par la CFDT, CFTC et CFE/CGC a prévue la fin de la négociation pour le 28 juin 2013.

http://www.interim.cgt.fr/le-syndicat/actualites/207-une-negociation-a-haut-risque.html#.UYen9aLt-Fk


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1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 23:01
PÉTITION POUR LE MAINTIEN DE LA PISCINE DÉCOUVERTE DE PONTIVY

SAUVONS LA PLAGE MUNICIPALE DE PONTIVY.

PÉTITION POUR LE MAINTIEN DE LA PISCINE DÉCOUVERTE DE PONTIVY.


Nous, signataires de la présente pétition,

Nous nous réjouissons de l'ouverture d'un centre aquatique en remplacement de la piscine couverte MAIS...

Nous refusons la fermeture définitive de la piscine découverte.

Nous demandons à nos élus qu'ils manifestent clairement la volonté d'ouvrir la plage municipale l'été.

 

 

 

N'hésitez pas à laisser un commentaire sur ce site. Merci.

Merci de votre soutien.

 

consultez notre blog : http://sauvonslaplage.over-blog.com/


association "sauvons la plage de Pontivy"

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