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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 19:28

Les quelque 3.360 salariés de chez Doux n'auront pas d'augmentation de salaires cette année. Il n'y aura pas non plus de geste pour les ouvriers qui travaillent à l'abattoir.

A l'occasion des négociations annuelles obligatoires qui se déroulaient hier à Châteaulin (29), les représentants syndicaux se sont heurtés à une fin de non-recevoir de la part de la direction du groupe volailler.

Les syndicats revendiquaient une hausse des salaires d'environ 4%. Par ailleurs, le rappel de salaires qui devrait leur être versé dans le cadre du contentieux sur les temps de pause est estimé à 10 millions d'euros au minimum.

Le télégramme - le 30 janvier 2010 

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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 00:29

Le 4e Salon national des Comités d’Entreprises et des Comités Hygiène Sécurité et Conditions de Travail rassemblera plusieurs milliers d’élu(e)s et mandaté(e)s des salariés, quelque soit leur appartenance syndicale, syndiqués ou pas, à l’initiative de la CGT avec son magazine, la Nouvelle Vie Ouvrière, les 21, 22 et 23 avril 2010 à Paris – Espace Champerret.

Vous pouvez dès maintenant vous inscrire, en cliquant ici et en remplissant le formulaire d’inscription pour recevoir votre badge électronique par email.
Le 4ème Salon des CE et des CHSCT ouvre ses portes dans un contexte économique et social où les enjeux de démocratie, du travail, et le défi de la syndicalisation sont devenus des priorités pour peser et réorienter les choix stratégiques des entreprises, du système financier et de l’intervention publique.
L’issue à la crise, un développement humain durable appelle un plus juste partage de la richesse créée. Pour la CGT, dans la somme des urgences, nous plaidons avec force pour la conquête et l’extension de nouveaux droits d’intervention pour le monde du travail avec la création de nouveaux lieux de parole sur chaque lieu de travail, de dialogue social, de négociations en territoire. Des droits pour gagner la capacité et le pouvoir d’agir des salariés pour obtenir des avancées sociales.


L’immensité des besoins à satisfaire, la transformation des situations de travail pour « le bien travailler », pour concilier vie personnelle et vie professionnelle, et en bonne santé, confirment l’importance d’institutions représentatives du personnel, d’élus et mandatés pour tous les salariés, quelles que soient la taille de son entreprise, sa qualification, la nature de son contrat de travail.

C’est l’enjeu de la construction de solidarités revendicatives à l’entreprise, inter entreprises, dans les zones commerciales, artisanales, sur les sites industriels….

Voici quelques thèmes, qui seront au centre des débats durant ces trois journées. Après un 49e congrès, où les syndicats ont décidé des axes revendicatifs pour de grandes ambitions sociales, la CGT donne rendez-vous à ses éluEs et mandatéEs, pour répondre à vos préoccupations quotidiennes, vous aider, être utile sur toutes les questions qui sont au coeur de l’activité syndicale, des espoirs des salariés pour transformer le réel et réenchanter le travail !!!
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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 00:26

Le 4e Salon national des Comités d’Entreprises et des Comités Hygiène Sécurité et Conditions de Travail rassemblera plusieurs milliers d’élu(e)s et mandaté(e)s des salariés, quelque soit leur appartenance syndicale, syndiqués ou pas, à l’initiative de la CGT avec son magazine, la Nouvelle Vie Ouvrière, les 21, 22 et 23 avril 2010 à Paris – Espace Champerret.

Dans un contexte économique et social marqué par la crise, par les grandes luttes menées au 1er semestre 2009, le syndicalisme persiste et signe pour l’emploi, contre la précarité, les bas salaires, pour la défense des droits des salariés.

Débats, forums, ateliers... pour cette 4ème édition le salon confirme sa marque distinctive : tout faire pour favoriser l’échange d’idées, d’expériences, de propositions, de perspectives.

Emploi, flexibilité, formation professionnelle, retraites, sécurité sociale, démocratie, activités sociales...

Bien d’autres enjeux seront au cœur des réflexions et en lien avec les grandes questions auxquelles vous êtes quotidiennement confrontées dans l’exercice de vos responsabilités.

Et, bien sûr, le nombre et la qualité des exposants sont l’assurance d’une réponse à vos besoins au service des salariés de votre entreprise.

Après le 49e congrès confédéral de la CGT, la perspective de ce 4e Salon national est un formidable atout pour l’action syndicale. Nous vous y attendons.

Dès maintenant, réservez ces dates sur votre agenda.

Vous pouvez dès maintenant vous inscrire, en cliquant ici et en remplissant le formulaire d’inscription pour recevoir votre badge électronique par email. 

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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 00:20
J'adhère à la CGT
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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 00:14

Pontivy : Grève chez Royal Délices

 
Les salariés se plaignent des salaires bas et des conditions de travail. Une note à propos des congés a fait déborder le vase vendredi.

« On nous demande beaucoup, on ne nous donne rien », résume une employée de l’entreprise Cobral, plus connue sous le nom de Royal Délices. Cette usine, implantée également à Lorient, existe à Pontivy, dans la zone d’activités de Pontivy-sud, rue Helène-et-Victor-Basch, depuis l’année 2000. Elle est spécialisée dans l’élaboration de snacks en tous genres : baguettes et tartines garnies, croque-monsieur, croissants, rouleaux de pâte, boules à pizza, etc. Le tout en produit frais ou en surgelé. L’entreprise, qui emploie actuellement 80 salariés en CDD et une vingtaine d’intérimaires, a été rachetée à la fin 2007 par le groupe coopératif Duc.

Manque de dialogue

Les employés se plaignent des salaires bas et des conditions de travail difficiles. Les cadences sont de plus en plus dures : « Autrefois, on était trois ou quatre sur une ligne de production. Maintenant il faut faire avec deux. » L’usine, qui tournait auparavant dans la journée, est passée aux deux huit. Les grévistes dénoncent « le manque de concertation et l’absence de dialogue ». Quand est arrivée une note concernant la prise de congés, « c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase ».

Auparavant, les employés avaient trois semaines de congés en été et quinze jours en hiver, qu’ils pouvaient prendre au moment des fêtes de fin d’année. Ils ont découvert jeudi, au panneau d’affichage, qu’ils ne pouvaient plus prendre ces journées d’hiver entre novembre et décembre. Les quinze jours sont à prendre désormais entre janvier et avril. Et les dates sont à poser avant le 31 octobre. « Ça va nous créer des sacrés problèmes de garde des enfants. »

 

Le personnel s’est mis en grève vendredi matin à 5 h dès la première heure d’embauche. Des responsables CGT et CFDT, les deux syndicats représentés dans la maison, sont venus les soutenir. Pendant ce temps, leurs quatre délégués ont entamé des discussions avec la direction. Après un premier tour de négociations, ils sont ressortis pour discuter avec les grévistes en fin de matinée. Les propositions étant jugées insuffisantes, une nouvelle réunion a été organisée l’après-midi. Ces pourparlers n’ont rien donné. Les grévistes ont voté la poursuite du mouvement. Ils ont levé le camp en fin d’après-midi, mais se sont donné rendez-vous pour lundi à 8 h sur place.

Les dirigeants ont évidemment été contactés par nos soins. Le directeur du site, Élisabeth Le Bon, nous a fait dire que « la direction ne s’exprime pas sur le sujet ».

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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 00:08

Implantée à Lorient et Pontivy l'entreprise Cobral, spécialisée dans les plats préparés et le snacking, revient de loin.

Rachetée par le groupe volailler Duc en 2007, alors qu'elle accusait 4,7 MEUR de pertes, l'entreprise morbihannaise vient d'obtenir la certification qualité IFS.

Un sésame indispensable pour se maintenir sur certains marchés (Marks & Spencer par exemple).

L'entreprise, qui a dégagé en 2009 un bénéfice net de 800.000 euros pour un chiffre d'affaires de 23,31 MEUR, compte désormais 178 salariés.

Des changements interviennent également au sein de l'encadrement. Directrice de Cobral, Françoise Lamy devient responsable régionale pour Duc qui possède aussi Volaven à Riec-sur-Bélon et une usine à Plumelin. François Taillefer, directeur des deux sites volaillers, devient directeur opérationnel de Cobral.

Il est remplacé par Lionel Goichon.


Le télégramme - le 21/01/2010

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 09:16
Reçus mardi à l’Élysée, les cégétistes de Renault Sandouville se mobilisent pour « construire l’avenir » de leur site, « au lieu de discuter de prime de licenciement ».

Sandouville 
(Seine-Maritime), envoyée spéciale.

« Nous n’avons rien inventé. C’est juste la concrétisation de ce qu’il y avait dans nos têtes, de notre expérience », lance, modeste, Didier Verdier, technicien à Renault Sandouville, un des auteurs du projet alternatif pour le site, menacé depuis la perte de la fabrication de véhicules haut de gamme. De la conception à la consultation jusqu’à la communication (1), ils ont tout pensé. À tel point que le cabinet de Nicolas Sarkozy n’a pas pu se dérober. Mardi, ils étaient reçus par Raymond Soubie, conseiller spécial du chef de l’État, pour examiner leur projet (voir encadré ci-dessous).

Tout a démarré en juillet 2008 lorsque le PDG de la firme, Carlos Ghosn, annonce « une réduction des coûts de structure de 10 %, notamment par un plan de départs volontaires ». Avec leur syndicat CGT (majoritaire), les Renault de Sandouville décident de passer à l’offensive. « Nous ­
n’avions plus le choix, il fallait que nous nous occupions de notre usine, revendique Claude Bernard, chargé de coordonner un groupe de réflexion. Depuis le début des années 2000, nous avons vu les modèles partir un par un à l’étranger. On savait bien que la prochaine fois, ce serait notre tour. »

Ouvriers, techniciens, ils planchent, des semaines durant, sur un projet alliant l’environnement, le social et l’économique. Tout en informant, par le biais d’un journal – le Petit Journal du projet industriel –, et en consultant l’ensemble du personnel, au fur et à mesure de l’avancée de leur réflexion. Dès le premier numéro du journal, ils donnent le tempo  : « Au lieu de discuter de prime de licenciement, nous avons décidé de parler d’avenir et surtout de le construire. » À l’automne 2009, ils créent l’événement en présentant un ensemble de propositions novatrices. Ainsi de la mise en place d’une chaîne de déconstruction des véhicules envoyés à la casse, jusqu’à la revalorisation des matières premières. Pour autant, ils ne lâchent pas le créneau de la fabrication. Ils argumentent pour l’attribution à Sandouville du dernier modèle haut de gamme de la firme, la Fluence, pour l’heure produit en Corée, en faisant valoir qu’il est destiné aux marchés occidentaux.

Innovation aussi en matière d’organisation du travail. Claude Bernard et ses camarades, ayant à l’esprit l’explosion des maladies du travail, proposent une sorte de petite révolution. « Aujourd’hui, les gars sont affiliés à une tâche unique. La voiture arrive vers chaque salarié pendant une durée déterminée, le temps pour lui d’effectuer son travail, explique Didier Verdier. Notre proposition est d’isoler la voiture, de mettre tous les gars qui doivent intervenir autour du véhicule, les pièces arrivant par un rail. » Une organisation par îlots qui permet au salarié de travailler en équipe avec ses collègues.

Le 6 octobre dernier, c’est la présentation publique du bébé. La date n’a pas été choisie au hasard  : c’est l’anniversaire de la venue de Nicolas Sarkozy à Sandouville. Dans la salle culturelle de Gonfreville-l’Orcher, des centaines de personnes se pressent  : de nombreux salariés de l’usine, des journalistes, et des représentants de l’ensemble des forces politiques de la région. Soucieux de la forme autant que du fond, le groupe a réalisé un film sur son projet. La réception est au-delà des attentes. La presse diffuse l’information tous azimuts, les politiques se saisissent du dossier. Le directeur, après avoir feint l’indifférence, concède que « le projet est cohérent à 50 %. Les 50 % manquants  : productivité, compétitivité », rapporte l’un des syndicalistes. Mission accomplie  ? Pas encore. « Nous aurons fait notre job quand le projet sera mis en place sur le site, déclare avec force Nicolas Guermonprez, secrétaire du syndicat CGT. Mais déjà, cela a redonné le moral aux salariés. »

Clotilde Mathieu

L'humanité - le 28/01/2010

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 09:07

 

 Les produits bio à marque de distributeur (MDD) en grandes surfaces coûtent une fois et demi plus cher que les mêmes produits MDD classiques, relève UFC-Que Choisir dans une enquête publiée dans son numéro de février, qui dénonce les marges réalisées par la grande distribution.

 

L'association de défense des consommateurs a relevé plus de 120.000 prix entre le 26 septembre et le 10 octobre 2009 auprès de 1.600 grandes surfaces traditionnelles (Leclerc, Auchan, Atac, Carrefour...).

Les MDD sont les produits vendus par les enseignes sous leur propre marque.

Cette enquête souligne que dans le circuit traditionnel, le panier de 14 produits bio MDD qu'a sélectionné UFC coûte 57% de plus que le panier équivalent de produits MDD non bio.

L'association dénonce ces prix qui "frisent l'indécence" alors que les pouvoirs publics se sont engagés dans le cadre du Grenelle de l'environnement à encourager l'agriculture biologique pour répondre à la demande croissante des consommateurs.

UFC – Que choisir, s'en prend, exemples à l'appui, à la marge réalisée par les grandes enseignes sur les produits bio MDD.

Si le prix moyen d'un paquet de farine MDD classique est de 69 centimes, il grimpe à 1,45 euro pour sa version bio, soit une marge de 110%. Pour des produits comme le lait demi-écrémé, le jus d'orange ou encore les coquillettes, l'écart monte à respectivement +45%, +64% ou encore +73%.

UFC-Que Choisir a par ailleurs relevé que les prix réalisés dans les réseaux spécialisés comme la Vie Claire et Biocoop étaient plus élevés de 47 à 55% par rapport aux grandes surfaces traditionnelles. En revanche, dès qu'il s'agit de produits de base comme le lait, les pâtes, le riz ou l'huile, les prix sont souvent inférieurs.

Une autre enquête publiée en novembre dernier par le magazine Linéaires avait relevé que les produits bio coûtaient 72% plus cher que les produits conventionnels correspondants alors que le discours officiel avance un prix supérieur de 20 à 30%.


Le 26/01/2010
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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 09:01
 

 

    Une polémique a opposé jeudi la Mutualité sociale agricole (MSA) à la CGT, cette dernière s'estimant victime d'une "machination" visant à réduire son influence, pendant l'organisation des élections des dirigeants de la MSA qui se sont déroulées entre le 5 et le 20 janvier.

 "On a pu noter un grand nombre d'erreurs, de tentatives de manipulation,
d'attaques contres les candidatures CGT durant tout le processus électoral", a dénoncé la CGT dans un communiqué.
    La confédération évoque aussi des bulletins CGT "oubliés" et des votes
"non oblitérés par la Poste" et pourtant comptabilisés.
   Il s'agit d'une "machination organisée qui démontre que tout est fait dans
cette élection pour tenter de réduire l'influence de la la CGT", poursuit le
mouvement.
   La MSA, qui gère la protection sociale du monde agricole et rural, a
vivement réagi dans un communiqué.
   "La MSA s'indigne des accusations portées contre l'honnêteté de ses
dirigeants et de ses salariés dans la conduite des élections", a-t-elle écrit
dans un communiqué, jugeant "ces accusations diffamatoires sont irrecevables et inacceptables".
   Elle indique que "le dépouillement est soumis au contrôle d'une commission électorale présidée par le préfet de région (...) composée notamment de représentants désignés par les syndicats représentatifs des salariés, dont la CGT".
   Concernant les résultats du scrutin, la MSA a fait savoir que 1,2 million
d'adhérents avaient voté,
soit 39% (contre 50% en 2005).
   27.000 délégués devaient être élus par trois collèges d'électeurs.
   Pour le collège salariés, 10.215 délégués ont été élus, selon les résultats
nationaux transmis par la MSA mais sans l'Ile-de-France dont les résultats
n'étaient pas connus jeudi soir.
   Selon les premiers résultats partiels pour ce collège, avec 3.380 élus
(33,1%), la CFDT est arrivée en tête, suivie de la CGC (2.155 élus; 21,1%), de la CGT (1.963 élus; 19,2%), de FO (1.136 élus; 11,1%), de l'Unsa (1.112 élus;10,9%) et de la CFTC (369 élus; 3,6%). Enfin 100 délégués ont été élus sur une liste commune (environ 1%).

AFP - 28/01/2010

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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 08:57

L'Urssaf du Morbihan ferait appel à des CDD ou intérimaires. Une situation que dénonce la CGT, estimant anormal qu'un service public fasse appel à des contrats précaires, alors qu'il a des «besoins avérés».

FO a saisi l'inspection du travail. «L'Acoss, l'organisme national chapeau des Urssaf, a des directives pour limiter le nombre de salariés, indique la CGT, et cela contraint l'Urssaf du Morbihan à employer des CDD et intérimaires.

Ce faisant, elle ne respecte pas la convention collective qui autorise les CDD et les intérimaires pour trois mois, reconductibles une fois ou en cas d'accroissement d'activité». La CGT estime que ce n'est pas le cas: «Il y a des CDD pendant neufmois et plus.

Quant à l'accroissement d'activité, il n'est pas ponctuel mais permanent et cela ne justifie pas le recours aux intérimaires». Pour le syndicat, c'est une situation paradoxale pour un organisme qui fait la chasse au travail dissimulé.

L'inspection du travail a confirmé hier qu'elle avait été saisie: «On en est au stade de l'enquête, à la phase contradictoire. Fin décembre, on a demandé des justifications à l'Urssaf et, le cas échéant, de les régulariser.

Maintenant, il y a un délai à respecter. C'est en cours d'examen par la direction de l'Urssaf». Contacté, le directeur de l'Urssaf, M.Amable, n'a pas souhaité s'exprimer sur le sujet.

Le télégramme - le 29/01/2010

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