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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 22:13

Filière avicole bretonne -  La CGT appelle à manifester pour défendre les emplois

 

L’arrêt des aides européennes à l’exportation met à mal la filière volaillère déjà fragilisée. En Bretagne, des milliers d’emplois sont concernés, notamment ceux des entreprise Doux et Tilly-Sabco.

C’est pourquoi les syndicats CGT des deux industriels exportateurs de volailles congelées appellent les salariés, les éleveurs « et tous les acteurs de la filière avicole bretonne », à participer à une manifestation, vendredi 2 août, à 10 h 30 devant la préfecture à Quimper.

 

Ils espèrent ainsi peser sur une réunion prévue à Paris, fin août, au ministère de l’Agriculture avec les ministres Stéphane Le Foll et Guillaume Garot pour faire le point sur les conditions de pérennisation de la filière grand export. Ils veulent convaincre la Banque Publique d’Investissement et des banques régionales, de soutenir les industriels.


« Il est urgent d’agir et de faire comprendre la gravité de la situation aux pouvoirs publics », explique la CGT. « Au-delà des stratégies différentes des directions des deux entreprises, ce sont les salariés qui servent de variable d’ajustement, c’est inacceptable ».

mercredi 31 juillet 2013 , par Frédéric Dayan

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 21:58

 La cgt

 

La Filière Française de la Volaille en danger

 

  C’est la stupeur ! La commission Européenne a décidé l’arrêt des restitutions (Aides à l’exportation) au 1er août 2013. Cette décision brutale met en danger 5.000 emplois directs de la « filière volailles export »,  et fragilise l’ensemble de la filière.

 

   Pour le département et la Région Bretagne c’est une catastrophe économique et sociale majeure. Elle va avoir des conséquences dramatiques sur l’emploi, sur l’outil industriel, sur les territoires. 

Nous estimons que les patrons de la filière portent une lourde  responsabilité dans la situation. Ils pensent rentabilité immédiate avant stratégie économique à long terme.

 Le gouvernement n’a rien fait depuis un an pour les salariés, ni pour l’avenir de la filière. En revanche, il répond aux exigences  du patronat et  des partisans de l’austérité. Les gouvernements n’ont pas anticipé l’arrêt des aides publiques Européennes qui représentent 0.2% du budget de la Politique Agricole Commune (PAC) pour la période 2014/2020.

 

La crise c’est eux,  la solution c’est nous

 

Ce n’est pas le coût du travail qui est en cause 

 C’est la course à toujours plus de profit !!

 

Les salariés ont créé la richesse de la Filière  

                          et la fortune des dirigeants.

 

La CGT ne cesse d’affirmer, que les salariés ne doivent pas être la variable d’ajustement. La CGT alerte depuis des années, fait des propositions, sans être entendue.                                                               

 

Nos propositions alternatives passent par :

 

·      La réorganisation de la filière avicole Française

·      Le développement de la filière avicole, et reconquête du marché intérieur (40% d’importation de volailles en France).

·      La renationalisation maîtrisée de notre politique agricole et agroalimentaire (maîtrise de chaque pays de l’Europe d’une partie de l’enveloppe des 58 milliards € du budget PAC).

·      La maîtrise publique de la filière avicole.

·      La mise sous tutelle de la filière avicole française.

·      Des politiques économiques et sociales préservant la souveraineté alimentaire.       

·      La sauvegarde de tous les emplois, l’amélioration des conditions de travail et des salaires, et de nouveaux droits pour les salariés.

                                                                                                                                              

Ce sont des milliers d’emplois directs et indirects qui sont concernés. C’est la survie de centaines de familles et d’exploitations avicoles qui est posée.

C’est le devenir des territoires. 

 

Pour la CGT, la priorité demeure l’activité industrielle du secteur avicole en Bretagne et en France,  vecteur de l’économie toute entière.       

28 juillet 2013

Des initiatives innovantes doivent être prises pour que les salariés ne soient pas les victimes de la  gestion industrielle désastreuse des directions et de l’inertie des pouvoirs publics.

 

 

 

Les salariés ont créé la richesse de la Filière                                                 et la fortune des dirigeants.

 

La CGT ne cesse d’affirmer, que les salariés ne doivent pas être la variable d’ajustement. La CGT alerte depuis des années, fait des propositions, sans être entendue.                                                               

 

Nos propositions alternatives passent par :

 

·      La réorganisation de la filière avicole Française

·      Le développement de la filière avicole, et reconquête du marché intérieur (40% d’importation de volailles en France).

·      La renationalisation maîtrisée de notre politique agricole et agroalimentaire (maîtrise de chaque pays de l’Europe d’une partie de l’enveloppe des 58 milliards € du budget PAC).

·      La maîtrise publique de la filière avicole.

·      La mise sous tutelle de la filière avicole française.

·      Des politiques économiques et sociales préservant la souveraineté alimentaire.       

·      La sauvegarde de tous les emplois, l’amélioration des conditions de travail et des salaires, et de nouveaux droits pour les salariés.

                                                                                                                                              

Ce sont des milliers d’emplois directs et indirects qui sont concernés. C’est la survie de centaines de familles et d’exploitations avicoles qui est posée.

C’est le devenir des territoires. 

 

Pour la CGT, la priorité demeure l’activité industrielle du secteur avicole en Bretagne et en France,  vecteur de l’économie toute entière.       

28 juillet 2013

Des initiatives innovantes doivent être prises pour que les salariés ne soient pas les victimes de la  gestion industrielle désastreuse des directions et de l’inertie des pouvoirs publics.

 

 

Les salariés ont créé la richesse de la Filière  et la fortune des dirigeants.

 

La CGT ne cesse d’affirmer, que les salariés ne doivent pas être la variable d’ajustement. La CGT alerte depuis des années, fait des propositions, sans être entendue.                                                               

 

Nos propositions alternatives passent par :

 

·      La réorganisation de la filière avicole Française

·      Le développement de la filière avicole, et reconquête du marché intérieur (40% d’importation de volailles en France).

·      La renationalisation maîtrisée de notre politique agricole et agroalimentaire (maîtrise de chaque pays de l’Europe d’une partie de l’enveloppe des 58 milliards € du budget PAC).

·      La maîtrise publique de la filière avicole.

·      La mise sous tutelle de la filière avicole française.

·      Des politiques économiques et sociales préservant la souveraineté alimentaire.       

·      La sauvegarde de tous les emplois, l’amélioration des conditions de travail et des salaires, et de nouveaux droits pour les salariés.

                                                                                                                                              

Ce sont des milliers d’emplois directs et indirects qui sont concernés. C’est la survie de centaines de familles et d’exploitations avicoles qui est posée.

C’est le devenir des territoires. 

 

Pour la CGT, la priorité demeure l’activité industrielle du secteur avicole en Bretagne et en France,  vecteur de l’économie toute entière.       

Des initiatives innovantes doivent être prises pour que les salariés ne soient pas les victimes de la gestion industrielle désastreuse des directions et de l’inertie des pouvoirs publics.

28 juillet 2013

 

 

 

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30 juillet 2013 2 30 /07 /juillet /2013 17:56
Orienter les aides publiques pour l’emploi
 Lettre ouverte du Comité Régional en direction des élus et parlementaires pour réorienter les aides publiques vers le maintien de la filière avicole.
http://www.cgt-bretagne.fr/IMG/pdf/11072013.pdf
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29 juillet 2013 1 29 /07 /juillet /2013 18:45

 

La CGT appelle les salariés, les éleveurs « et tous les acteurs de la filière avicole bretonne », à participer à une manifestation, vendredi 2 août, à 10 h 30 à Quimper (rendez-vous devant la préfecture), pour soutenir l’emploi dans les entreprises Doux et Tilly-Sabco.

 

Les syndicats CGT des deux industriels exportateurs de volailles congelées ont pris cette initiative pour sensibiliser les pouvoirs publics« sur la nécessité d’agir rapidement pour trouver une solution pour pallier l’arrêt des restitutions (les aides européennes à l’exportation).

 

Ils invitent également les commerçants et les populations des bassins d’emplois concernés à se joindre au mouvement. Une réunion importante aura lieu à Paris, fin août, au ministère de l’Agriculture pour convaincre la BPI, la Banque Publique d’Investissement et des banques régionales, de soutenir les industriels. La CGT espère rallier d’autres syndicats à sa manifestation.

Ouest france - le 29/07/2013 

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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 08:28
Dans un arrêt rendu vendredi, la cour d'appel de Rennes a donné raison à quatorze salariés de la SAS Doux Frais qui avaient refusé, en 2009, leur transfert du site de La Vraie-Croix (56) à Châteaulin et Quimper, dans le Finistère. Le préjudice total a été évalué à un peu plus de 500.000 €. Les salariés disposant d'une clause de mobilité avaient été licenciés pour motif personnel, ceux n'en disposant pas pour motif économique. Restructuration des fonctions centrales Ces refus étaient intervenus alors que le groupe volailler avait décidé de fermer l'unité de La Vraie-Croix, composée de 62 salariés, dans le cadre d'une restructuration des fonctions centrales. À l'époque, 48 d'entre eux avaient refusé une modification de leur contrat de travail entraînant, pour certains, un changement d'employeur, voire de convention collective. La cour d'appel, qui a réformé les jugements précédents en défaveur des salariés, précise que «la modification collective du lieu de travail de 62 salariés, dans le cadre d'une réorganisation des services centraux transversaux à trois sociétés du groupe, ne peut qu'entraîner un licenciement pour motif économique» et non pas 62 cas individuels, comme l'avait considéré le groupe Doux. Absence de plan de sauvegarde L'entreprise aurait donc dû «établir un plan de sauvegarde de l'emploi, intégrant un plan de reclassement, soumis préalablement aux organismes représentatifs du personnel». «Aucune condamnation ne pourra être prononcée à l'encontre de la société Doux Frais en redressement judiciaire. Les sommes fixées seront donc inscrites au passif de la procédure collective de l'entreprise», précise la cour d'appel. L'arrêt a été déclaré opposable à l'assurance garantie des salaires (AGS). le telegramme - le 10/06/2013 Jacky Hamard
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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 23:06

 

 

 

 

Les syndicats étaient réunis mardi 17 juillet en Comité Central d’Entreprise au siège du groupe, à Châteaulin. Peu optimistes sur l’avenir du volailler mis en redressement judiciaire début juin, ils estiment qu’ « il y aura de la casse sociale », que ce soit avec les offres extérieures de reprise qui s’apparentent à un démantèlement, ou avec le plan de continuation que proposera dans les jours à venir le PDG du groupe.

Selon les organisations syndicales du groupe Doux, 1.553 CDI et 525 CDD seraient aujourd’hui menacés dans le cadre des différentes offres de reprises du volailler, sur un total, en ce qui concerne les CDI, de 3.400 emplois. Sans illusions mardi, à la sortie du Comité Central d’Entreprise à Châteaulin, le délégué central syndical adjoint de la CFDT Jean-Luc Guillart regrettait : « Cela fait beaucoup et l’impact social dans la région sera grand ».

Des offres de reprise « consternantes »

Les différentes offres de reprises d’entreprises extérieures autant que le plan de continuation esquissé par le PDG du groupe risquent donc d’engendrer une importante casse sociale. Les offres extérieures présentées à la direction ont été qualifiées par Charles Doux de « consternantes, tant au plan social qu’au plan économique », sans aucune préoccupation pour la préservation de l’emploi. Il a donc annoncé que le groupe Doux présenterait, mardi 24 juillet, son propre plan de continuation qui « réunira, au sein du capital, les éleveurs, les salariés et de nouveaux investisseurs qui sont des professionnels du secteur ».

« Comment faire confiance à quelqu’un qui n’a pas été très honnête avec nous ? »

Mais si les salariés du groupe sont d’accord avec leur direction quant à la teneur des offres extérieures de reprise, ils restent extrêmement sceptiques sur le plan de continuation que présentera Charles Doux la semaine prochaine. « On veut obtenir des informations sur le plan de continuation de M. Doux. Mais on n'y croit pas trop. Comment faire confiance à quelqu'un qui n'a pas été très honnête avec nous ? », interroge la déléguée centrale syndicale FO Nadine Hourmant. « Nous sommes dans la situation actuelle à cause d’eux et subitement ils auraient la solution ? On a du mal à y croire. La confiance n’y est pas », ajoute Jean-Luc Guillart. Des syndicats unanimes donc, qui estiment à l’image de Raymond Gouiffès, de la CGT, que la proposition de Charles Doux est « minuscule » et « pas constructive du tout ».

Quel rôle pour l’Etat ?

Alors que les plans sociaux se multiplient, la question du rôle de l’Etat se pose à nouveau. Le Ministre délégué à l’Agroalimentaire, Guillaume Garot, a conditionné mardi les aides publiques à la reprise à un « effort des partenaires » pour préserver les emplois. Le Ministre s’est dit « dubitatif » concernant le plan de la famille Doux, et affirme que l’Etat pourra appuyer un repreneur mais qu’il « soutiendra un projet durable, répondant à une logique du donnant/donnant ». Estimant que le gouvernement était « à la fois exigeant et réaliste », il ajoute que sa ligne « est qu’il faut trouver une solution par site, et ouvrir une réponse à chaque salarié. Cela signifie que nous souhaitons qu’un maximum d’emplois puisse être conservé ».

Le Tribunal de commerce de Quimper examinera le 27 juillet les différentes offres de reprises. C’est à lui que reviendra d’en retenir une ou plusieurs, ou de décider de poursuivre la période d’observation actuellement en cours.

L'Humanité - le 18 Juillet 2012

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27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 07:42

La CGT appelle à une manifestation de soutien aux salariés du groupe DOUX et à la filière avicole en Bretagne 

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Le Samedi 30 juin à 10 h port  de la Rabine Vannes 

 

 

Nous souhaitons une forte mobilisation !!!!

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27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 07:38
Des salariés de Doux à Châteaulin (Finistère), samedi
Des salariés de Doux à Châteaulin (Finistère), samedi (AFP)

Le patron du volailler Doux, Charles Doux, s’est déclaré prêt à ouvrir le capital de la société, ex-leader européen de la volaille mis en vente par l’administrateur judiciaire, mais en imposant ses conditions, dans un entretien paru dans le Journal du dimanche.

«Je détiens, avec mes fils, 35% de l’entreprise. Avec les deux autres branches de la famille, la participation atteint 80%. Je suis prêt à ouvrir le capital pour assurer l’intégrité du groupe», a assuré M. Doux dans cet entretien. L’administrateur judiciaire de Doux a annoncé vendredi la mise en vente du groupe volailler, après l'échec d’un plan de redressement du leader européen du secteur, étranglé par les dettes.

Mais si le patron de Doux veut se battre pour un plan de continuation, il compte imposer ses conditions aux investisseurs. «Lors des négociations avec le comité interministériel de restructuration industrielle début juin, sous l'égide d’Arnaud Montebourg, j’ai refusé de donner les clés de Doux à Barclays. Je ne pouvais céder le contrôle à une banque anglo-saxonne qui n’avait aucun plan industriel et ne donnait aucune garantie sur l’emploi et la filière», a indiqué M. Doux.

«La cession du groupe n'est pas d'actualité»

Le patron se dit d’accord pour négocier avec «soit des partenaires industriels, soit des coopératives françaises qui connaissent le métier, soit des financiers garants de l’avenir». «Je ne redoute pas la cession du groupe, elle n’est pas d’actualité car nous pouvons financer la période d’observation. Je ne demande pas d’aide publique. Je demande des financements normaux, qu’on rende l’argent bloqué par la banque Natixis», ajoute-t-il.

Le patron de Doux insiste sur le rôle de la banque : «Il faut que Natixis, qui détient des créances du groupe, débloque 10 millions d’euros. Cela fait un mois que nous négocions. Natixis joue un rôle dangereux. Cette somme totale de près de 30 millions d’euros permettra de tenir trois mois, un délai suffisant pour boucler un plan de continuation.»

Entre 700 et 800 personnes ont manifesté samedi à l’appel de l’intersyndicale, à Châteaulin dans le Finistère, pour exprimer leur inquiétude face aux menaces qui pèsent sur le groupe Doux.

 

Libération - le 24/06/2012

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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 20:28

Le tribunal de commerce de Quimper a rendu son délibéré après l’audience. La société Saria Industrie (Concarneau) reprend, pour 22 millions d’euros, l’entreprise Stanven, basée à Plouray (22) et appartenant à la famille Doux.

 

La société Stanven (22 salariés), appartenant à la famille Doux est spécialisée dans la production de viande pour chats et chiens à partir de sous-produits de l’abattage de volaille. L’entreprise vient d’être reprise, avec les salariés, pour 22 millions d’euros.

 

Grâce à cette somme, Charles Doux devrait pouvoir rembourser une partie de ses fournisseurs. Si la vente de l’entreprise permet « de donner un peu plus de visibilité et permettra de revenir à une activité proche de la normale », pour Régis Valliot, administrateur judiciaire, « il manque encore une somme équivalente à trouver rapidement pour remettre le groupe sur les rails ».

 

Le groupe Doux dépenserait actuellement plus de 3 millions d’euros par jour en frais de fonctionnement.

 

Saria Industrie remporte la manche

 

C’est désormais l’entreprise Saria Industrie qui possède Stanven. Une bonne nouvelle pour Jean-Luc Guillart, délégué CFDT pour Doux. « C’est une grosse entreprise et bretonne, c’est ce qu’il faut pour Doux et pour la filière. » Spécialisée dans la valorisation des sous-produits volaillers, l’entreprise a été préférée à Akiolis (Le Mans), également dans les rangs des potentiels repreneurs.

 

Prochaine échéance pour les salariés du groupe Doux : le comité central d'entreprise, vendredi prochain, à 10 h, au siège de Châteaulin.

 

Quant aux administrateurs judiciaires du groupe criblé de dettes, ils organisent « un dépôt d'offres » de rachat avant le 2 juillet, devant le tribunal de commerce de Quimper. Le choix du repreneur sera décidé en fin de mois.

 

Ouest France - Le mardi 26 juin 2012

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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 18:41

La cgtUN 30 JUIN POUR L’AVENIR !

 

 

La Cgt se félicite de la mobilisation du 23 juin à Châteaulin pour soutenir les personnels du groupe Doux dans leur lutte pour le maintien de leur emploi et le développement de la filière avicole en Bretagne.

Charles Doux entraîne avec lui plus de 3400 salariés directs et des milliers d’emplois induits.

Si le Groupe devait disparaître, ce serait une catastrophe économique et sociale dont Charles DOUX est le premier responsable, le Gouvernement aussi.

La CGT a tiré la sonnette d’alarme en 2009 lors d’une rencontre avec Xavier Bertrand à Vannes et le 7 juillet 2011 avec le représentant du Président de la République à Brest.

Les diverses interventions, de l’État, des Collectivités territoriales, des organisations syndicales et des salariés font bouger les lignes. Charles Doux serait aujourd’hui d’accord d’ouvrir son capital.

La mobilisation porte ses fruits et doit se poursuivre.

La CGT soutiendra toutes les initiatives de nature à maintenir le Groupe, avec ou sans Charles Doux, pour garantir et développer la cohérence dans la filière avicole et les emplois qui en découlent.

Pour cela la CGT sera présente à Vannes le 30 juin à 10h.

Elle appelle l’ensemble de ses syndicats et des salariés à participer au succès du rassemblement avec les organisations syndicales du Groupe.

La CGT est intervenue auprès des comités d’entreprise du Groupe pour organiser un déplacement collectif et ainsi permettre au plus grand nombre de salariés de participer.

La CGT va poursuivre ses efforts pour renforcer la démarche unitaire des organisations syndicales et permettre un élargissement de la mobilisation pour une réelle politique industrielle dans notre région.

 Elle intervient en ce sens auprès des organisations syndicales régionales pour décider ensemble des suites à donner.

 

LE 30 JUIN, A VANNES à 10 H.

Place de la RABINE

TOUS ENSEMBLE

 POUR NOTRE AVENIR, CELUI DE LA FILIERE, CELUI DE LA REGION.

 

Imp. CGT 2012 06 26

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